1 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
1 donnerait encore la peine d’y croire, ou même de déclarer qu’il n’y croit pas ? Ainsi, par un tour astucieux, l’image automatiq
2 Roi. En l’an 547, le concile de Constantinople le déclare éternel. Pendant tout le Moyen Âge, il terrorise les populations de l
3 tice à la fonction vitale du mythe. Car lorsqu’il déclare par exemple : « Le diable est un mythe, donc il n’existe pas », il en
4 rfois localement explicables, ou qu’on se borne à déclarer absurdes et fous s’ils résistent à notre analyse. C’est pourquoi la r
2 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
5 tion et des erreurs de l’Histoire. Mais le Führer déclarait un jour : Je ne crains pas les Ravaillac, parce que ma mission me pro
3 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
6 ces. Dans une passion violente et dans un conflit déclaré , le mal est facilement reconnaissable : c’est à l’avantage du bien. M
4 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
7 mieux encore si le mot avait un sens que l’on pût déclarer sans hésiter. Si chacun de vous savait ce qu’il défend. (Car se faire