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et Rimbaud surtout me fascinait, avant que je ne
découvre
les surréalistes. Mon premier article, publié à l’âge de 17 ans, dans
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te ans avant qu’elle n’arrive à la Sorbonne, nous
découvrions
la linguistique nouvelle. En outre, nous avions un autre professeur é
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retrouvé par la suite. D’une part, nous faisions
découvrir
, en France, des auteurs complètement nouveaux à l’époque, tels Kierke
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On ne sait pas toujours ce que c’est ; il faut le
découvrir
. Le but est très loin en avant, dans l’infini, l’Absolu, Dieu, comme
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t sa chapelle, que nous sommes si heureux d’avoir
découvert
. Cher Monsieur Veillon, puis-je vous prier de transmettre à vos frère
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dans mon cas. Dès l’âge de 15 ans, je pense, j’ai
découvert
Rimbaud, qui était pour ma génération notre ange révolté, mais aussi
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lescence, je ne croyais qu’à la poésie, puis j’ai
découvert
la théologie avec Karl Barth, dans la lignée « existentielle » (comme
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is dernières sources que je dois d’en être venu à
découvrir
, dans les années 1930, que l’Europe était la vraie patrie de l’amour,
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eurs reprises que c’est en Amérique que vous avez
découvert
l’Europe. Comment cela s’est-il passé ? De deux manières. D’une part
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a littérature universelle : Herder et Goethe vont
découvrir
, grâce à elle, Homère, Dante et Shakespeare — d’où les traductions de
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carrière en Suisse, ce n’est pas la Suisse qui a
découvert
et propagé leur nom dans le monde ; c’est au contraire de l’étranger,
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le et les vrais contemporains de ce que ce siècle
découvre
aujourd’hui. Ce que j’affirme ici, c’est que nous n’avons pas fini de
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tendais prêcher le dimanche. C’est alors que j’ai
découvert
Kierkegaard. J’ai commencé à lire quelques fragments de lui — intitul
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re, tandis qu’en revenant à Calvin, peu après, je
découvrais
ce que la Réforme avait apporté de plus constructif du point de vue d
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tien » et calviniste de sa « responsabilité ». Je
découvrais
du même coup le principe des tensions dynamiques, de la dialectique,
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rs ni kierkegaardiens ni protestants. Enfin, j’ai
découvert
peu après, vers 1930, une théologie qui était nettement inspirée de K
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it ma préoccupation fondamentale. Ce qui m’a fait
découvrir
Kierkegaard, c’est la littérature. Et tout ce que j’écris — c’est pou
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eh bien, je ne me sens pas du tout vieux, mais je
découvre
que je suis un des derniers survivants de cette génération qui s’est
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onstante et poignante nostalgie, en Amérique j’ai
découvert
l’Europe, et la nécessité vitale de son union, si les Alliés gagnaien
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je vienne. Vers ma vingt-quatrième année, j’avais
découvert
deux auteurs qui furent décisifs pour ma vie : Kierkegaard et Karl Ba
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our et l’Occident et non pas dans Freud que j’ai
découvert
l’explication de mon cas et les raisons qui m’ont fait commettre dans