1 1982, Articles divers (1982-1985). Un écrivain au service de la cité (24 octobre 1982)
1 et Rimbaud surtout me fascinait, avant que je ne découvre les surréalistes. Mon premier article, publié à l’âge de 17 ans, dans
2 te ans avant qu’elle n’arrive à la Sorbonne, nous découvrions la linguistique nouvelle. En outre, nous avions un autre professeur é
3 retrouvé par la suite. D’une part, nous faisions découvrir , en France, des auteurs complètement nouveaux à l’époque, tels Kierke
2 1982, Articles divers (1982-1985). La peur d’être libre… (printemps-été 1982)
4 On ne sait pas toujours ce que c’est ; il faut le découvrir . Le but est très loin en avant, dans l’infini, l’Absolu, Dieu, comme
3 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
5 t sa chapelle, que nous sommes si heureux d’avoir découvert . Cher Monsieur Veillon, puis-je vous prier de transmettre à vos frère
4 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
6 dans mon cas. Dès l’âge de 15 ans, je pense, j’ai découvert Rimbaud, qui était pour ma génération notre ange révolté, mais aussi
7 lescence, je ne croyais qu’à la poésie, puis j’ai découvert la théologie avec Karl Barth, dans la lignée « existentielle » (comme
8 is dernières sources que je dois d’en être venu à découvrir , dans les années 1930, que l’Europe était la vraie patrie de l’amour,
9 eurs reprises que c’est en Amérique que vous avez découvert l’Europe. Comment cela s’est-il passé ? De deux manières. D’une part
5 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
10 a littérature universelle : Herder et Goethe vont découvrir , grâce à elle, Homère, Dante et Shakespeare — d’où les traductions de
11 carrière en Suisse, ce n’est pas la Suisse qui a découvert et propagé leur nom dans le monde ; c’est au contraire de l’étranger,
6 1985, Articles divers (1982-1985). Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage I] (1985)
12 le et les vrais contemporains de ce que ce siècle découvre aujourd’hui. Ce que j’affirme ici, c’est que nous n’avons pas fini de
7 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
13 tendais prêcher le dimanche. C’est alors que j’ai découvert Kierkegaard. J’ai commencé à lire quelques fragments de lui — intitul
14 re, tandis qu’en revenant à Calvin, peu après, je découvrais ce que la Réforme avait apporté de plus constructif du point de vue d
15 tien » et calviniste de sa « responsabilité ». Je découvrais du même coup le principe des tensions dynamiques, de la dialectique,
16 rs ni kierkegaardiens ni protestants. Enfin, j’ai découvert peu après, vers 1930, une théologie qui était nettement inspirée de K
17 it ma préoccupation fondamentale. Ce qui m’a fait découvrir Kierkegaard, c’est la littérature. Et tout ce que j’écris — c’est pou
18 eh bien, je ne me sens pas du tout vieux, mais je découvre que je suis un des derniers survivants de cette génération qui s’est
8 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
19 onstante et poignante nostalgie, en Amérique j’ai découvert l’Europe, et la nécessité vitale de son union, si les Alliés gagnaien
20 je vienne. Vers ma vingt-quatrième année, j’avais découvert deux auteurs qui furent décisifs pour ma vie : Kierkegaard et Karl Ba
9 1996, Articles divers (1982-1985). « Plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (automne 1996)
21 our et l’Occident et non pas dans Freud que j’ai découvert l’explication de mon cas et les raisons qui m’ont fait commettre dans