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n évolution une de ces crises où l’être spirituel
découvre
sa forme véritable. Et si, comme chez Goethe, c’est une forme mystiqu
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ire contrainte d’assigner à l’homme actif 8, l’on
découvre
que c’est la magie encore qui n’a cessé de l’entraver : Könnt ich Ma
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aire, de garder ces choses-là pour soi et de n’en
découvrir
que juste ce qu’il faut pour qu’elles puissent être de quelque avanta
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nir entre les limites de l’intelligible »12. L’on
découvre
ici la source de l’étrange refus de Goethe, dès qu’il s’agit de faire
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l’angoisse d’être diminué, les difficultés qu’on
découvre
, déconcertantes ; puis l’esprit qui se met à douter, parce qu’il n’a
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n si l’on eût exigé qu’il nommât l’activité qu’il
découvrait
. Qui ne sait, de nos jours, parler d’« hygiène professionnelle » ? 3
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où le ciel s’ouvre sur le châtiment, où le démon
découvre
que son œuvre a libéré les hommes de leur bonheur, et la vie de l’obs
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es journées qui précèdent la bataille, Napoléon a
découvert
la vie concrète d’un pays et des êtres dont c’est la patrie. Il a con
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’abstruse érudition. Il fallait être Schmidt pour
découvrir
dans ce grenier de notre poésie tant de possibles, tant d’intentions5
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e premier piège évité. Il naît de la difficulté à
découvrir
l’intime hiérarchie qui trahirait la vraie personne dans ce complexe
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examens de conscience où l’on parvient toujours à
découvrir
de mesquins ressorts à n’importe quel comportement. On les inventerai
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ntre (mais Gide est, je crois, plus doué). On l’y
découvre
enfin, et cela me paraît nouveau, constamment occupé de problèmes rel
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créé les sciences physiques, conçu l’Histoire et
découvert
la Terre ? D’autres cultures et civilisations ont trouvé mieux peut-ê
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ion du temps, mère de l’Histoire. 1. L’Occident
découvre
le Temps De la Genèse mosaïque jusqu’aux débuts du siècle dernier,
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les hommes touchés par le message évangélique ont
découvert
le temps irréversible de l’Histoire, et qu’ils ont osé l’accepter. La
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nt si l’homme, dès qu’il croit cette Histoire, se
découvre
impuissant devant elle et en elle : rien n’est plus répandu que ce se
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enir. Mais la Renaissance et les siècles suivants
découvrent
l’infini et le réintroduisent dans l’imagination et la spéculation, p
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1961)av Un dialogue mal engagé L’Occident
découvre
le zen au moment où les couvents zen se vident au Japon. (Mais il y a
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sectateurs du Dr Suzuki en Amérique.) L’Occident
découvre
la sagesse hindoue, grâce aux présentations quelque peu christianisée
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ocialisme qui ne doit rien à Shankara. L’Occident
découvre
Zoroastre à la suite de Nietzsche, et publie les grands textes des my
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d’adaptation à l’habitus capitaliste. L’Occident
découvre
et publie le Hi-King, tandis que la Chine s’industrialise, s’impose n
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on mandarinat. Enfin, l’Occident n’a pas plus tôt
découvert
l’art nègre, les masques, la magie, le jazz, que l’Afrique noire se p
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e-même de ses ressources matérielles. Ce que nous
découvrons
avec passion dans le Tiers Monde, ce n’est pas ce dont il vivait, c’e
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est pas notre créativité, mais ses produits. Nous
découvrons
leurs secrets spirituels en même temps que leur misère, qui en était
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créature toujours à la quête de l’être dont elle
découvre
en elle l’Image, ou dont elle se découvre comme étant l’Image » ; enf
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nt elle découvre en elle l’Image, ou dont elle se
découvre
comme étant l’Image » ; enfin l’amour naturel, qui recherche la satis
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ue les amants de la forêt du Morois en viennent à
découvrir
que c’est leur passion même qui exige leur séparation, parce que « le
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mais qu’en même temps le vrai moi de l’amant s’y
découvre
, autrement éclairé, et par là subtilement changé, un peu plus lui-mêm