1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 n évolution une de ces crises où l’être spirituel découvre sa forme véritable. Et si, comme chez Goethe, c’est une forme mystiqu
2 ire contrainte d’assigner à l’homme actif 8, l’on découvre que c’est la magie encore qui n’a cessé de l’entraver : Könnt ich Ma
3 aire, de garder ces choses-là pour soi et de n’en découvrir que juste ce qu’il faut pour qu’elles puissent être de quelque avanta
4 nir entre les limites de l’intelligible »12. L’on découvre ici la source de l’étrange refus de Goethe, dès qu’il s’agit de faire
2 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
5 l’angoisse d’être diminué, les difficultés qu’on découvre , déconcertantes ; puis l’esprit qui se met à douter, parce qu’il n’a
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
6 n si l’on eût exigé qu’il nommât l’activité qu’il découvrait . Qui ne sait, de nos jours, parler d’« hygiène professionnelle » ? 3
4 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
7 où le ciel s’ouvre sur le châtiment, où le démon découvre que son œuvre a libéré les hommes de leur bonheur, et la vie de l’obs
5 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
8 es journées qui précèdent la bataille, Napoléon a découvert la vie concrète d’un pays et des êtres dont c’est la patrie. Il a con
6 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
9 ’abstruse érudition. Il fallait être Schmidt pour découvrir dans ce grenier de notre poésie tant de possibles, tant d’intentions5
7 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
10 e premier piège évité. Il naît de la difficulté à découvrir l’intime hiérarchie qui trahirait la vraie personne dans ce complexe
11 examens de conscience où l’on parvient toujours à découvrir de mesquins ressorts à n’importe quel comportement. On les inventerai
12 ntre (mais Gide est, je crois, plus doué). On l’y découvre enfin, et cela me paraît nouveau, constamment occupé de problèmes rel
8 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
13 créé les sciences physiques, conçu l’Histoire et découvert la Terre ? D’autres cultures et civilisations ont trouvé mieux peut-ê
14 ion du temps, mère de l’Histoire. 1. L’Occident découvre le Temps De la Genèse mosaïque jusqu’aux débuts du siècle dernier,
15 les hommes touchés par le message évangélique ont découvert le temps irréversible de l’Histoire, et qu’ils ont osé l’accepter. La
16 nt si l’homme, dès qu’il croit cette Histoire, se découvre impuissant devant elle et en elle : rien n’est plus répandu que ce se
17 enir. Mais la Renaissance et les siècles suivants découvrent l’infini et le réintroduisent dans l’imagination et la spéculation, p
9 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
18 1961)av Un dialogue mal engagé L’Occident découvre le zen au moment où les couvents zen se vident au Japon. (Mais il y a
19 sectateurs du Dr Suzuki en Amérique.) L’Occident découvre la sagesse hindoue, grâce aux présentations quelque peu christianisée
20 ocialisme qui ne doit rien à Shankara. L’Occident découvre Zoroastre à la suite de Nietzsche, et publie les grands textes des my
21 d’adaptation à l’habitus capitaliste. L’Occident découvre et publie le Hi-King, tandis que la Chine s’industrialise, s’impose n
22 on mandarinat. Enfin, l’Occident n’a pas plus tôt découvert l’art nègre, les masques, la magie, le jazz, que l’Afrique noire se p
23 e-même de ses ressources matérielles. Ce que nous découvrons avec passion dans le Tiers Monde, ce n’est pas ce dont il vivait, c’e
24 est pas notre créativité, mais ses produits. Nous découvrons leurs secrets spirituels en même temps que leur misère, qui en était
25 créature toujours à la quête de l’être dont elle découvre en elle l’Image, ou dont elle se découvre comme étant l’Image » ; enf
26 nt elle découvre en elle l’Image, ou dont elle se découvre comme étant l’Image » ; enfin l’amour naturel, qui recherche la satis
27 ue les amants de la forêt du Morois en viennent à découvrir que c’est leur passion même qui exige leur séparation, parce que « le
28 mais qu’en même temps le vrai moi de l’amant s’y découvre , autrement éclairé, et par là subtilement changé, un peu plus lui-mêm