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Descartes, il n’est que d’aimer en voyage : l’on
découvre
bientôt que rien n’est comparable. Quel était ce besoin de fixer, de
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ndre dupe, elle a perdu le goût de se risquer, de
découvrir
. Et l’impuissance qui déjà la frappe n’est pas même compensée par une
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’elles évoquaient cet amour, c’était parce que je
découvrais
en elles de secrètes ressemblances, qui pour les autres paraissaient
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m de rêves, discourt et décrit les images qu’il y
découvre
. Il y a les ailes du Moulin-Rouge, qui sont les bras de Clarissa dans
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ans son propre sens ! — Mais il faut voyager pour
découvrir
ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à voir ? — Mais il fallai
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s, je perds mes préjugés sur mon apparence, je me
découvre
localisé dans un type humain. Immobile, j’étais presque infiniment va
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ayonnais, on me dessine. Mais en même temps, j’ai
découvert
mes puissances d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il exi
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existe des signes. Peut-être faut-il d’abord les
découvrir
tous par soi-même. Et c’est alors seulement qu’aux yeux de ceux qui s
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a là une station de canots de louage où j’ai vite
découvert
un « Friedrich Hölderlin » à côté d’un « Hypérion ». En cherchant, je
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se complaît à décrire le vêtement des anges. L’un
découvre
l’univers dans chaque organe de la machine humaine. L’autre enseigne
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u de l’esprit, comprend enfin qu’il est perdu, il
découvre
la liberté. Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de