1 1947, Doctrine fabuleuse. Orientation
1 n différentes en apparences. C’est ainsi que l’on découvre Don Juan dans le mouvement de la pensée de Nietzsche, le Supplice de
2 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
2 le juger selon quelque canon, doit commencer par découvrir les rapports singuliers qui manifestent la loi intime de ce tableau.
3 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
3 n visage les jeux de lumière et de sentiments. Il découvre une sorte de rire au coin de sa bouche dans les moments de pire décou
4 se perdre pour avoir voulu se constater. Va-t-il découvrir aussi qu’on ne comprend que ce qu’on dépasse ? Qu’il faut sortir de s
4 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
5 petite étude était écrite depuis un an lorsque je découvris dans les Cahiers de Barrès (tome VIII, p. 86) deux lettres d’un petit
5 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
6 ù le diable sévit, se réfugie sur les hauteurs et découvre que Dieu y est plus dangereux encore, d’une autre sorte, fulgurante.