1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 chemin perd sa patrie : c’est souvent elle qu’il découvre le mieux quand il parcourt le globe et vit chez l’étranger. Non qu’il
2 que le mystère m’attend, et que ne vais-je pas y découvrir , à mon retour, que jamais je n’ai su regarder ?   On lui dit : — Vou
2 1948, Suite neuchâteloise. II
3 écu ? Certes, dans les deux cas, c’est moi que je découvre , puisqu’il s’agit d’un souvenir, d’une invention, sans autre précéden
4 e raniment de tout autres mystères. Ils nous font découvrir plus que nous-mêmes.   Je l’ignorais encore quand on m’a proposé d’éc
3 1948, Suite neuchâteloise. VII
5 ond de composer, de contraster, de voiler puis de découvrir , de plonger à l’abandonnée, de s’écarter, de revenir, de boire des ye
4 1948, Suite neuchâteloise. VIII
6 r les étrangers vanter nos vertus bien connues et découvrir celles que nous ignorons. Je me borne à l’autocritique. Et par exempl