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chemin perd sa patrie : c’est souvent elle qu’il
découvre
le mieux quand il parcourt le globe et vit chez l’étranger. Non qu’il
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que le mystère m’attend, et que ne vais-je pas y
découvrir
, à mon retour, que jamais je n’ai su regarder ? On lui dit : — Vou
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écu ? Certes, dans les deux cas, c’est moi que je
découvre
, puisqu’il s’agit d’un souvenir, d’une invention, sans autre précéden
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e raniment de tout autres mystères. Ils nous font
découvrir
plus que nous-mêmes. Je l’ignorais encore quand on m’a proposé d’éc
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ond de composer, de contraster, de voiler puis de
découvrir
, de plonger à l’abandonnée, de s’écarter, de revenir, de boire des ye
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r les étrangers vanter nos vertus bien connues et
découvrir
celles que nous ignorons. Je me borne à l’autocritique. Et par exempl