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des propriétés des radiations est de détruire les
défenses
immunitaires de l’organisme et que de terribles épidémies se propager
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nous appelions, déjà avant la dernière guerre, la
défense
en hérisson de chaque village, de chaque hameau, une défense répandue
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hérisson de chaque village, de chaque hameau, une
défense
répandue sur tout le territoire. Et si cette défense, proche de la gu
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ense répandue sur tout le territoire. Et si cette
défense
, proche de la guérilla, ne suffisait pas, il faudrait aussi recourir
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ne suffisait pas, il faudrait aussi recourir à la
défense
civile. J’ai fait naguère une proposition qui est peut-être moins com
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Bien d’autres procédés peuvent être imaginés. Une
défense
civile ainsi conçue pourrait déstabiliser l’adversaire, comme au judo
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n-violence puisse constituer une alternative à la
défense
armée ? Je suis persuadé que la non-violence est la seule réponse vra
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suisse ? Non, parce que je ne pense pas que notre
défense
militaire puisse être considérée comme un danger par un autre pays. I
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aurions le temps de préparer techniquement cette
défense
non violente. Parce qu’il ne faut pas que ce soit une démission. Vous
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de pas comme sage ». Alors, il faut répondre à la
défense
militaire et en même temps par la non-violence. C’est un compromis, s
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sion, dans notre pays, de rouvrir le débat sur la
défense
nationale. Un débat qui ne concerne pas seulement les militaires. »
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d’assurer les fonctions qu’il s’était arrogées :
défense
du territoire et des libertés populaires, garantie de la monnaie, pai
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x intuitions souvent prophétiques, à concilier la
défense
d’un héritage culturel incessamment enrichissant, avec l’urgence de c
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(Est-Ouest) des armements, chargée d’assurer nos
défenses
nationales. Les démocraties ont vaincu, en 1945, à l’aide de la bombe
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communautés qui la constituent. 3° La volonté de
défense
locale, sur tout le territoire de la fédération européenne. Sans voul
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me bornerai à rappeler quelques évidences : a) La
défense
locale (guérilla, défense « en hérisson ») s’est montrée plus forte q
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lques évidences : a) La défense locale (guérilla,
défense
« en hérisson ») s’est montrée plus forte que les troupes les mieux a
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transports, l’environnement, les universités, la
défense
? Tandis que Bruxelles deviendrait l’agence économique (conforme à sa
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ous avertit que : « Le problème soulevé touche la
Défense
nationale, nous n’en dirons pas plus ! » Mais cette guerre, à quoi pe
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extérieures. Elles ont créé un pouvoir commun de
défense
qui était réel mais limité à cela, et les laissait libres pour le res
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emploi général, ce maintien de la monnaie, cette
défense
indépendante du territoire. S’il était capable de faire tout cela, on
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les corriger en cas de besoin. Mais la meilleure
défense
étant l’attaque, dit-on, j’oserai donc avancer que je fonde quelque e
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d’une institution médicale, voire d’un office de
défense
nationale aux USA. Pourquoi ne pas appliquer ces procédés à la pénétr
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gument et pour sujet. » Il s’agit d’un réflexe de
défense
: il se sent menacé dans son identité par les désordres de l’époque.
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pendance de l’URSS et de renforcer sa capacité de
défense
. Résumons : tout est « la propriété de l’État, c’est-à-dire le bien d
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raux existants, tels que : relations extérieures,
défense
, transports et PTT, législation du travail, lois sur la citoyenneté f
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77) toutes les compétences fédérales de l’Union (
Défense
, Affaires étrangères, etc.), les autres étant du ressort des « Commis
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ératifs technologiques » voire en « nécessités de
défense
nationale ». Nous mentons à nos vrais désirs. Nous disons tous que no