1
une « colle » d’examinateur. « Le cas de légitime
défense
, répétait-il consciencieusement à chaque témoin, qu’en faites-vous ?
2
« chrétienne » revendiquer dans leurs discours la
défense
des « valeurs » chrétiennes, pour appuyer des décrets-lois. L’on voit
3
ne jamais suffire à cette nécessité. Car la seule
défense
efficace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la création, un tra
4
député et d’un littérateur qui se consacrent à la
défense
du spirituel ? La grâce moscovite vous aurait-elle saisi ? L’utilitar
5
inventée par la bourgeoisie, en guise de dernière
défense
contre le communisme. Ces gens-là n’ont probablement jamais voyagé au
6
ntre cette inflation nominaliste, il n’est pas de
défense
plus sûre que le recours à l’étymologie. Car le sens étymologique est
7
Notre chance est dans l’invention, et non dans la
défense
, ou dans l’imitation. À la force vivante de destins impériaux, n’oppo
8
ualité », qu’une dernière, et subtile, et modeste
défense
— la plus orgueilleuse sans doute — contre la question personnelle qu
10
s ce pays, qu’il faut défendre la culture. x. «
Défense
de la culture », Esprit, Paris, n° 52, janvier 1937, p. 642-643.
11
op des secondes. Sous prétexte de réalisme, et de
défense
des intérêts économiques, c’est la réalité européenne de la Suisse qu
12
rès tout, notre armée n’est qu’un aspect de notre
défense
fédérale. Et un aspect subordonné. Si l’on néglige à son profit « le
13
rs que les armes matérielles soient pour nous une
défense
suffisante. Je vois bien qu’elles sont nécessaires. Mais je vois auss
14
une existence vraiment autonome. Le budget de la
défense
nationale dans un pays dont la vraie raison d’être est en fin de comp
15
Car sans cadres, l’économie périclitait, et la «
défense
nationale » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la
16
y a lieu. Voilà le point. Voilà le terrain de ma
défense
et aussi de ma contre-attaque. « Je ne puis, moi, renoncer à rien de