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poir, parce que l’action, à tout prendre, est une
défense
contre la mort — la mort partout présente « comme l’irréfutable preuv
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mme, dans sa condition menacée, réduit aux seules
défenses
qu’invente son calcul. Voici l’homme livré à lui-même, c’est-à-dire à
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exigence vis-à-vis de l’homme ; de se borner à sa
défense
; de ne pas voir que la vraie défense, c’est l’attaque. Nous avons mo
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borner à sa défense ; de ne pas voir que la vraie
défense
, c’est l’attaque. Nous avons moins besoin d’idées justes que d’idées