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es grandes cités deviendront mobiles — leur seule
défense
imaginable — et la circulation sera dégorgée dans l’invisible stratos
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dit qu’ils étaient à bout de ressources, et sans
défenses
sérieuses contre un débarquement. Notre presse s’est gardée d’insiste
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à l’esprit dans une précédente lettre : la seule
défense
d’une ville est sa mobilité. J’entends bien : sa mobilité perpétuelle
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ulation se déplace continuellement. Le système de
défense
que je propose ne changerait guère cette condition. Simplement les ma
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à vapeur, la concentration urbaine, l’avion, la «
défense
» contre la Bombe, tout va dans le même sens. On nous a tout d’abord
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ns l’avis d’aucun savant autorisé, ils parlent de
défenses
possibles, si toutefois on leur laisse le commandement. Je leur oppos
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t, l’existence actuelle ou possible de la moindre
défense
effective contre un raid atomique par surprise. Voici cependant l’éta
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ne l’imagine. Car non seulement nous sommes sans
défense
, mais encore le secret de la Bombe sera demain celui de Polichinelle,
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s savants unanimes déclarer qu’il n’existe pas de
défense
imaginable contre un raid atomique, et que cependant les généraux réc
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il ne renonce pas aux barrières douanières, à la
défense
du capital d’abord, et à la peur (elle-même créatrice de conflit) d’u
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lanétaire : or ces messieurs sont absorbés par la
défense
d’intérêts locaux dits nationaux, trente visites par jour, des inaugu
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s porter notre effort, désormais, non plus sur la
défense
d’un mot, d’un terme vague que plus personne n’attaque, mais sur la d
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ières, Sens général des recherches scientifiques,
Défense
des droits de la personne, Transports planétaires. (Rien que de raiso