1 es plus ou moins avouées et de ruineux budgets de défense nationale. Un pays qui ne peut pas vêtir ses déportés trouve encore l

2 gressive se voit contrainte de développer pour sa défense une théorie. Nous vivons ce moment de l’histoire où le fédéralisme su

3 u courant de l’Histoire. Le slogan de la peur : «  Défense de l’Europe », définit aujourd’hui l’utopie. Telle qu’elle est, pessi

4 etites nations d’organiser seules leurs moyens de défense … Elles doivent s’assurer l’aide de telle grande puissance dont c’est

5 tions, d’unification rationnelle, ou seulement de défense contre l’un des « deux grands ». Un chrétien convaincu, s’il voyait s

6 purement matérielles. Et certains pensent que la défense d’une notion proprement européenne de l’homme, de sa culture, de son

7 voyages d’information). Enfin, Considérant que la défense des droits de l’homme est l’axe même de nos efforts vers une Europe u

8 Aucun de nos pays ne peut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seu

9 e est de ranimer ses pouvoirs d’invention pour la défense et pour l’illustration des droits et des devoirs de la personne humai