1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 s promesses de succès — tandis que du motif de la défense , non retenu à La Haye, ne sortira qu’un retentissant échec. (S’il éta
2 ela s’entendait immédiatement.) Qu’il s’agisse de défense et d’armements, de technique et de management, de recherches scientif
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
3 aient tôt fait de débrayer et de nous livrer sans défense aux fanatiques du statu quo, par où j’entends les bureaucrates et la
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
4 esure de jouer un rôle mondial, d’assurer seul sa défense , de se nourrir seul, au spirituel comme au physique), et en même temp
5 de suspicion envers tout pouvoir central et à la défense ombrageuse des autonomies locales ou régionales. C’est ainsi qu’un il
6 voir se charger de tâches communes (telles que la défense , les affaires étrangères et la politique économique ou certaines rech
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
7 aient trop lâches : elles ne permettaient pas une défense commune efficace. Tout le monde admettait que les péages et douanes e
8 ière, la fin des affaires « étrangères » et de la défense « nationale » économique ou militaire. Et l’on sait que l’abnégation
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
9 ic (économie, politique, enseignement, fiscalité, défense , tourisme, etc.) doit dépendre d’un seul et même organisme, l’État, d
6 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
10 temps et chaque but se trouvent subordonnés à la défense et à l’affirmation de la personne, module universel des institutions.