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ion des grandes entreprises. Quant au motif de la
défense
du continent (qui n’apparaît pour ainsi dire jamais pendant la périod
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e mène une vigoureuse politique « antitrusts » de
défense
des consommateurs. Cependant, des difficultés sérieuses sont apparues
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é par ces deux Chambres ; ni monnaie commune ; ni
défense
militaire commune ; ni plan commun pour faire face aux crises énergét
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comme l’était la famille, mais se voit livré sans
défense
aux pressions collectives du monde moderne. Hors des heures de travai
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décident de son destin concret, il est livré sans
défense
aux pressions extérieures massives de l’État, du marché, des employeu
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ux firmes polluantes mais qui travaillent pour la
défense
nationale ? Au surplus, nos États opposent aux mesures écologiques de
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ts économiques d’une part, aux « nécessités de la
défense
nationale » d’autre part. Ce qui nous conduit à la conclusion que les
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ue, pour la protection des sols et des forêts, la
défense
des paysages et des monuments, etc. b) La formation d’agences fédéral
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elques-uns aux chances de bonheur de chacun, la «
défense
nationale » à la paix, l’énergie aux buts du travail qu’elle est cens
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fectif à l’échelle mondiale, ou pour assurer leur
défense
; — qu’ils sont trop grands — à deux ou trois exceptions près — pour
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ouver dans la préparation à la guerre, baptisée «
défense
nationale », la justification en dernier recours, l’ultima ratio de l
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ssité de s’unir au moins assez pour organiser une
défense
commune dans toute la profondeur du continent — et le reste viendrait
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ats manifestement incapable d’envisager sa propre
défense
par ses propres moyens. Ces raisons sont en gros les suivantes. a) La
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uropéens face aux problèmes non seulement de leur
défense
, mais de ce qu’il y aurait lieu de défendre par priorité : souveraine
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serve dans nos populations quant à une éventuelle
défense
commune d’on ne sait trop quelle Europe ; cependant que la défense is
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’on ne sait trop quelle Europe ; cependant que la
défense
isolée d’un de nos pays par lui tout seul apparaît comme une prétenti
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lement reconnues qui ont traité le problème de la
défense
globale de l’Europe contre une attaque massive venant de l’Est (seul
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ue à Bruxelles. a) Le premier, dans L’Europe sans
défense
?33, décrit l’attaque surprise des Russes, qui effectuent d’abord en
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à l’instar de la France, puisse assurer sa propre
défense
». (Que ferait le Luxembourg ? demande-t-il.) Surtout il ne croit pas
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ce pays pour refuser la communauté européenne de
défense
, seule à la taille du danger. Si donc nous refusons que « la destruct
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venter un avenir différent, dans le domaine de la
défense
plus encore qu’en tout autre. Et là encore, nous ne trouverons la sol
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s cultures. Il faudrait les aimer d’abord. Pas de
défense
efficace et valable sans une conscience de ce que l’Europe signifie p
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, non d’État. Or, la tactique qui correspond à la
défense
des réalités humaines, non des mythes nationaux-étatiques, c’est ce q
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s, c’est ce qu’on appelle en termes militaires la
défense
en hérisson. Défense locale, village par village. Combat sur place, s
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elle en termes militaires la défense en hérisson.
Défense
locale, village par village. Combat sur place, seul vraiment motivé.
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parce qu’on les y a forcés. C’est cette forme de
défense
que le général Close nomme avec justesse « dissuasion populaire », qu
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cette tactique suppose et favorise une volonté de
défense
authentique et spontanée, que rien au monde ne saurait remplacer. La
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itier le désarmement mondial37. Le problème de la
défense
est inséparable de celui du désarmement, comme celui de l’Énergie est
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rmement sera le principal renfort apporté à notre
défense
. Mais l’Europe ne peut contribuer au désarmement général que si elle
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ions. 33. Général Robert R. Close, L’Europe sans
défense
?, Éditions Arts et Voyages, Bruxelles, 1977. 34. Interview du génér
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ts humains, sociaux et naturels ; de potentiel de
défense
qui ne veut compter qu’en mégatonnes d’explosifs, non pas en volonté
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ne. Éduquer au contraire et motiver la volonté de
défense
sur place, locale et régionale, dans toute l’Europe. Ce qui exige l’u