1
livre comment l’Occident historique, relevant un
défi
qui semblait écrasant et qu’il se portait à lui-même, acceptant de «
2
tel dans les cafés, et sa foi prend l’allure d’un
défi
. On pourrait m’objecter Saint-John Perse, mais justement il a choisi
3
irs publics et le mécénat privé pour répondre aux
défis
du temps ? Est-il coordonné à la mesure des besoins ? Aurait-il réuss
4
nt d’être politiques. Là encore, l’Europe mise au
défi
en tant qu’ensemble culturel, reste sans voix. C’est ici la nécessité
5
e pour mieux s’éprouver et se mettre elle-même au
défi
de les intégrer, ses chances les plus sûres de durer. Ce fait patent,
6
ue l’union de nos Églises les renforce, devant le
défi
que porte à toute religion — autant qu’à l’Occident — le monde commun
7
iendrait-il plutôt, si l’on en croit Toynbee, des
défis
auxquels elle se voit soumise ? S’il s’agit de défis extérieurs, je r
8
is auxquels elle se voit soumise ? S’il s’agit de
défis
extérieurs, je réponds non. Car les invasions asiatiques, seul défi e
9
e réponds non. Car les invasions asiatiques, seul
défi
extérieur que nous ayons subi, d’ailleurs victorieusement, des champs
10
es à cet égard ; or elles ne résultèrent pas d’un
défi
venu de l’extérieur, mais au contraire d’une agression délibérée de n
11
s encore et surtout, pour l’aider à faire face au
défi
tout nouveau que lui porte le Monde, — ce Monde du xxe siècle né de
12
première et drue, les philologues nous ont mis au
défi
d’apporter un peu plus de justesse dans le style de nos émotions. Et
13
ndant nous disent : si l’homme invente, c’est par
défi
aux dieux, c’est pour ravir le feu du ciel, comme Prométhée, et pour