1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 al, l’obstacle légal, objectif. Tristan relève ce défi  : d’où le rebondissement de l’action. Et ici le mot prend un sens sym
2 écadence, ou la souffrance qui transfigure, ou le défi que l’esprit jette au monde, ce que nous cherchons, c’est ce qui peut
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
3 aître une rhétorique de la folie, c’est-à-dire un défi à toute science en général et à toute science psychiatrique en partic
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
4 laisse oublier ni la lyre ni l’épée symbolique du défi à la société constituée ! Est-il beaucoup de nos poètes qui aient tro
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
5 ns ingénieuses, l’éloge de la chasteté, voire les défis à une mort libératrice. Mais la dialectique sauvage de Tristan n’est
6 dernier acte de Mozart, rachetant par cet ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un véritable chevalier. Tristan, m
5 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
7 n la raison — et qui n’est pas un héroïsme, ni un défi , mais une patiente et tendre application. Le contraire absolu de tout