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C’est le philosophe E. M. Cioran, je crois, qui a
défini
L’Avenir est notre affaire comme la « méditation apocalyptique d’un
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ou d’obsession ethnicienne ou linguistique. Je la
définis
comme un espace de participation civique dont les dimensions peuvent
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ment dans leurs pensées. Dans ce mythe du progrès
défini
en fonction de la puissance, de la productivité, de la grandeur… C’es
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nt n’a pas atteint « le but et l’objectif » ainsi
définis
, mais qu’il a perdu tout espoir et peut-être même tout désir d’y cond
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nsemble politique, religieux et intellectuel bien
défini
qui se nomme la Suisse. À travers le paysan vaudois et les circonstan
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cessaire, dès lors que le Progrès ne saurait être
défini
que selon les intérêts de l’État qui le gère. D’où la similitude des
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ier Nicée, Constantinople et Chalcédoine, qui ont
défini
les caractères fondamentaux de la conception européenne de l’homme et
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e, mais isolé) et la persona des Romains (citoyen
défini
par son rôle, sa fonction sociale dans l’État). La personne, au sens
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s pouvoirs — les franchises, droits et privilèges
définis
par la charte européenne dont il préconise l’adoption. Le titre même
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ue ces contraintes prévaudront, dans les domaines
définis
par la charte, sur les « souverainetés nationales » ; — que dans la t
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ne peut être repéré d’abord, puis éventuellement
défini
, qu’au carrefour de la géographie, de l’économie et de l’écologie, ma
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es. Le territoire d’une région fonctionnelle sera
défini
par celui des communes qui choisiront de faire partie de cet ensemble
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t Iseut. L’amour qui unit ces deux héros, je l’ai
défini
comme se nourrissant d’obstacle, lesquels font figure de nécessité, d
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a pureté.) Le projet de fédération européenne est
défini
avec une grande rigueur dans ce traité, où le dogme de la souverainet
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aux domaines élargis de proche en proche qu’avait
définis
notre ami dans le texte d’une admirable concision que je vous lisais