1 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
1 e. Reprenons l’origine des termes. L’individu est défini par rapport à l’ensemble, à l’espèce11. Il est une partie d’un tout :
2 om duquel légiféra la Convention n’était en somme défini que par des droits — et par des droits tout relatifs à l’ensemble don
3 uel songeait le philosophe thomiste est très bien défini  : c’est le pouvoir du pape ; c’est celui qui réside, comme disait Ber
2 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
4 e l’esprit, en ce siècle ! Il a été admirablement défini par la Sorbonne, entre autres. 30. Traité du désespoir, trad. Gatea
3 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
5 ls, et s’hypnotisa sur l’idée du standard de vie, défini par comparaison avec « les autres », déterminé par une série de facte
6 olétaire » tel que le fabrique le capitalisme est défini par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa condition est dégradan
4 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
7 vigoureusement conditionnée par des buts humains définis . Si ces buts pouvaient être atteints sans nulle émeute, sans nul empl
5 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
8 sont mal définies. Mais nous visons des buts bien définis  : il ne faut pas épauler au hasard. Le grand problème de la pensée pe
9 responsables, chacune pour son compte, de postes définis .) Le combat singulier La troupe d’assaut reste l’expression adé
6 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
10 ans l’Encyclopédie de 1765, vous trouverez loisir défini comme « le temps vuide ». Cette nomination qu’un libéral voudra bien
7 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
11 des créations de l’Église chrétienne. Voici donc définis par leurs origines, et dans leur genèse historique, les maîtres mots