1 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
1 s, pour lesquels la complémentarité de phénomènes définis comme exclusifs l’un de l’autre a cessé d’être un scandale, est même
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
2 t vouloir faire coïncider sur un même territoire, défini par le sort des guerres et du coup baptisé « sol sacré de la patrie »
3 utre qu’accidentelle avec aucun espace économique défini par la nature des choses ou par un projet rationnel. Or, voici l’iron
4 ont il est le seul interprète… Par la suite, on a défini la souveraineté comme « la faculté pour un État d’agir à sa guise, ta
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
5 t de frontières, on parle d’ajustements variables définis par des aires d’influence ; là où l’on insistait sur l’étendue des do
6 i peut être séparé, définir tout ce qui peut être défini , distribuer entre organes ou fonctionnaires différents tout ce qui au
7 nnaires différents tout ce qui aura été séparé et défini , ne rien laisser dans l’indivision. Proudhon entend réduire les attr
8 , sous quelles formes et dans quels domaines bien définis . Le Marché commun, par exemple, qui est un pouvoir économique, doit-i
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
9 préséance, la priorité au niveau de vie matériel, défini par la croissance du PNB, ou au mode de vie existentiel, « sensible a
10 Marcuse ? Dans François Perroux ? Ce niveau reste défini , dans notre société industrielle, par quelques chiffres (PNB, revenu
11 e prothèses. Mais je demande en vain où il serait défini par : – la pureté de l’air, de l’eau et du silence ; – la qualité de