1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 cessaire, dès lors que le progrès ne saurait être défini que selon les intérêts de l’État, qui le gère. D’où la similitude des
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
2 e » symbolise. Le luxe suprême de demain, je l’ai défini au lendemain d’Hiroshima : « La lenteur au sein du silence. » Ce soir
3 ire) que 2500 ouvriers. 57. Il s’agit du Progrès défini en fonction d’un système de Puissance : plus de Pouvoir centraliste,
3 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
4 rché, fait pour la masse, adapté aux besoins bien définis des ouvriers allant à leur usine et des paysans allant parfois en vil
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
5 e idée de la vie et de son sens. Dès lors l’État, défini comme fonction certes subordonnée mais nécessaire, l’État c’est nous,
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
6 f à se muer en règle dans son domaine strictement défini . Cette règle devient alors, par la force des choses, totalitaire. C’e
7 if, celui que résume le Pentagone de la Puissance défini par Lewis Mumford142. Une nouvelle société ne pourra se fonder qu’au
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
8 ous aidera à nous délier de « ce rapport au monde défini par la technique » dont Heidegger a décrit le premier les vertiges « 
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
9 e un cadre imposé ou décrété, non comme un espace défini par les modalités de l’action civique dans le concret de la vie, des
10 , le modèle obsédant de l’État-nation napoléonien défini par ses seules frontières — ces « cicatrices de l’histoire », disait
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
11 pratique d’une finalité générale dans un domaine défini . 195. Et Trotski aussi, quoi qu’on dise. C’est lui qui fait écraser