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e est, dans sa simplicité : tout un programme. Et
définissons
à grands traits les réactions du bon sens vis-à-vis de ce programme d
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articulière méfiance, mon but était simplement de
définir
une expression qui par la suite pourra nous être utile. Petits purs,
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ci qu’une formule nécessairement simplifiée. Nous
définissons
la personne comme un acte et non pas comme un donné physique ou moral
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c’est la personne humaine telle que nous l’avons
définie
. 5° Dans « l’Ordre nouveau », les institutions reproduisent à tous le
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nt à tous les degrés le conflit et la tension qui
définissent
la personne en acte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine pol
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gime dictatorial ? La doctrine de l’Ordre nouveau
définit
une personne qui n’a rien à voir avec cet individu. Une personne qui
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gagement et actualité. Une personne qui peut être
définie
comme le prochain de l’Évangile. La seconde objection concerne l’effi
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tence concrète14 de la personne telle que nous la
définissons
. Elle n’est pour lui qu’un mythe, dont il met en doute la puissance d
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rée comme un service nécessaire — voilà peut-être
définie
l’attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions.
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des formules que je proposais tout à l’heure pour
définir
l’attitude chrétienne devant les exigences de César. Elles sont en si
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on de la primauté nécessaire du spirituel (qu’ils
définissent
d’ailleurs assez diversement) ; affirmation de la nécessité de repren
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lités personnelles. Ces refus et ces affirmations
définissent
l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nou
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Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la revue,
définissait
dès son premier numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de c
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t en librairie. Ce volume intitulé l’Homme debout
définira
la position philosophique de l’ON. Sur la position du groupe relative
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quipe d’ingénieurs s’est attachée à chiffrer et à
définir
dans le détail l’application du service de travail. Cf. le n° 8 de L
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nouveau . 20. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile
définit
la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui qui pra
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donc, dépasser la vision, ce ne peut être que la
définir
dans l’absolu, à la frontière de la mort et de la vie ; et la nier, m
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urs des pages qui précèdent, je me suis attaché à
définir
, plutôt que les principes particuliers d’une étude physiognomonique,
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e des motifs tout contraires, dont la coïncidence
définit
la personne. Tensions qui d’autre part, bâtissent et soutiennent l’éd