1 s, le fait d’assumer publiquement notre part bien définie dans cette bataille commune est un acte de propreté, un acte vital au

2 que le monde est divisé en deux partis, qui ne se définissent clairement que par rapport à la liberté. D’un côté, les peuples qui s

3 ssence de la culture et une situation locale bien définie , les problèmes d’urbanisme, d’éducation populaire, de questions socia

4 celle du reporter mais celle du moraliste : il la définissait comme « une puissance d’adhésion, qui tantôt s’identifie à son objet,

5 antôt, rétablissant la distance, le conçoit et le définit  ». Et je constate qu’il l’appliquait de préférence au phénomène uniqu

6 s ne visaient point à entraîner, mais à cerner, à définir , à dire le vrai. Elles font confiance à la lucidité. « Est-ce rêver,

7 celle de l’Europe ne saurait être interprétée ni définie par un ensemble de mesures sacrées, encore moins par quelque système

8 cise (puisqu’un iota bouleversait tout) se trouva définir , aux grands jours de Nicée, le type de réalité que des siècles d’Euro

9 cisive épiphanie de leur archétype. La réalité se définit , pour une civilisation donnée, par le champ de recherches qu’institue

10 st pourtant bien le même, mais qu’il nous reste à définir . (Concevoir a deux sens aussi, mais en un mot.) 2) L’éclatement d’une

11 t de l’esprit ». Pour la Prusse, l’idée de l’État définie par Hegel et Fichte. Pour l’Angleterre, la maîtrise des mers. Pour la

12 s, non comme un puzzle formé de pièces rigides et définies d’abord par leur contour. Elle conçoit les rapports humains et politi

13 ariaga, entre Jaspers et Croce ? Rien de facile à définir , sans doute. Pas un slogan. Mais ce fait et ce mode d’expérience — co

14 de l’Europe montre d’où nous venons. Ces repères définissent un axe. Cet axe part de l’Europe des Romains et des Francs, traverse

15 s, nos esprits. Et leur conciliation vivante nous définit . Principe d’autorité, principe d’association, « à la rencontre l’un d

16 ercée en fait que par l’État. M. van Kieffens l’a définie comme « la faculté pour un État d’agir à sa guise, tant à l’intérieur