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mment accentué qu’il peut paraître suffisant pour
définir
un front unique, fût-il provisoire. Le chapitre suivant s’intitule :
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ne au double sens du mot. Les clercs défendent et
définissent
une liberté de la pensée qui n’est au vrai qu’une assurance contre to
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engagés dans la réalité. Et cela suffirait bien à
définir
le sens que nous donnons à ce mot d’engagement. […] Les écrivains qui
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du colonialisme — qui est sans doute décisif pour
définir
le rôle mondial d’une bonne Europe — André Reszler est peut-être trop
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pour les premiers docteurs de l’Église : comment
définir
le Père, le Fils et le Saint-Esprit que les évangiles présentent comm
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intérêts respectifs ». Enfin, les art. 143 à 158
définissent
en détail les compétences et droits des communautés autonomes à créer
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ous faisons nôtres, la région en Europe doit être
définie
comme le territoire d’une communauté humaine : « Cette communauté se
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ménagement de l’avenir désirable — expression qui
définit
une politique, traduisant des impératifs écologiques. Cela ne signifi
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interprétant. 1. Un rite veut qu’on commence par
définir
les termes d’un débat, ici Écologie et Politique. Nous savons tous la
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i.) Enfin, une circulaire confidentielle de l’EDF
définit
les écologistes comme ayant pour but véritable « d’entraver le foncti
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ne des fragments d’un long essai37 dans lequel il
définissait
les conditions d’une défense de nos diversités culturelles : Peut-on
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intellectuelles de cette communauté peuvent être
définies
à grands traits comme suit : Quant à la forme : peu ou point de cours
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». L’esprit européen, me semble-t-il, pourrait se
définir
assez bien, dans l’œuvre de Mme de Staël, comme le contraire de tous
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la région dont je parle, et que je n’ai cessé de
définir
comme un « espace de participation civique », est le contraire exact
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e grand géographe français Vidal de la Blache. Il
définissait
là le contraire de l’utopie. Il n’y a pas deux régions pareilles, cec
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erche sur l’Europe telle que l’ont vue, perçue et
définie
dans son ensemble les philosophes, les géographes, les politiques et
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à l’élection du 17 juin. Mais ce que l’on voit se
définir
avec la plus grande netteté, c’est la communauté de leurs vues sur l’
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ouveraineté européenne » — encore qu’elle reste à
définir
— voilà ce que ne peuvent se permettre d’envisager nos États-nations,
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m’étonne que le concept de nation, qui sert ici à
définir
celui d’État, n’ait fait l’objet d’aucune définition aux pages précéd
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élabore et précise la notion de souveraineté pour
définir
l’État, nom qui apparaît rarement dans les textes du temps. Le siècle
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’on nomme aujourd’hui les nationalisations, ainsi
définies
par le Petit Larousse : « Transfert à la collectivité de la propriété
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elle de l’Europe occidentale. Ce qui, selon vous,
définit
l’héritage de Byzance est devenu, de toute évidence, celui de la Russ
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réactions du tiers-monde, car s’il est urgent de
définir
la culture commune des Européens, c’est pour prendre mieux conscience
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iècle. Ce qu’on peut dire sur l’Europe, s’il faut
définir
d’un mot sa culture, c’est que c’est une culture qui accepte un nombr
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européenne peut-être, en première approximation,
définie
comme ce qui admet un nombre non limité et sans cesse croissant de dé
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ette grande espérance, la vocation de l’Europe se
définit
clairement. Elle est d’unir ses peuples selon leur vrai génie, qui e
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juridiques d’un type nouveau, au sein de régions
définies
à la fois par la géographie, la langue et la culture, les traditions
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drait arriver à faire une sorte d’unité nouvelle,
définie
par l’habitude, par les coutumes, par l’économie aussi. Leur développ