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des puissances de nature inhumaine. Nous pourrons
définir
un tel humanisme : l’organe d’équilibre de la civilisation. Nous teni
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ver un sens dans la mort. L’homme qui pourrait se
définir
: « Dieu n’est pas, donc je suis » ; l’homme seul ; areligieux, relié
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n art protestant de fait, peut-on, par contre, le
définir
idéalement ? Il nous semble que cela supposerait d’abord une définiti
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e roman du même auteur16, et il nous aide à mieux
définir
le charme de cette œuvre inoubliable. Antérieur de quelques années à
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ette sorte, mais est-ce à eux que l’on demande de
définir
la doctrine ?). Voici quelques traits amusants ou cruels qui les cara
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nt qui charme à froid) — art qui tout ensemble se
définit
et se limite par l’épithète valéryenne d’exquis. On sait quels « juge
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essenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le
définir
en termes positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont
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iat. Acte, présence et engagement, ces trois mots
définissent
la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
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’elle soit soutenue par une fidélité que l’auteur
définit
comme « une présence activement perpétuée ». Et tout cela tend à crée
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x, comment étouffer le scandale de cette mort qui
définit
le destin de l’esprit parmi nous ? Si l’Opinion publique a tué Kierke
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atrie, l’idée profonde de leur nation, que Pillau
définit
comme la fidélité, et de tout sacrifier à cette fidélité. À mesure qu
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ibre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de
définir
symboliquement les pôles : pensée « pure » et pensée « engagée », ou
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cision dans le passé ! Quand c’est elle seule qui
définit
notre présent ! Est-ce que nos objections « philosophiques », et notr
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anté religieuse s’appelle œcuménisme. Nous allons
définir
ces trois termes en insistant sur leur liaison fondamentale et sur le
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Il convient de laisser aux théologiens le soin de
définir
la doctrine positive de l’union au nom de laquelle doit être condamné
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ns de l’Église chrétienne. Dans la personne ainsi
définie
se résout l’éternel conflit entre la liberté individuelle et les devo
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erté et l’engagement de la personne chrétienne se
définissent
du même coup par la formule : à chacun sa vocation. Nous avons retrou
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émulation vivante des valeurs originales. Spinoza
définit
la paix comme « l’harmonie des âmes fortes ». Nous pourrions pareille
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ie des âmes fortes ». Nous pourrions pareillement
définir
l’œcuménisme et le fédéralisme en remplaçant « âmes » par « églises »