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antichrétienne en son principe. Ainsi se trouvent
définies
les trois hérésies politiques que nous avons à dénoncer. 1° L’hérésie
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e Barth se laissera-t-il d’autant plus clairement
définir
qu’on le définira par son opposition globale à la dialectique humanis
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ra-t-il d’autant plus clairement définir qu’on le
définira
par son opposition globale à la dialectique humaniste qui paraît à no
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ut simplement « le voisin inévitable », celui que
définit
, d’ailleurs, le Droit romain. Nous voudrions montrer ici d’une part l
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pposer à cet individu, et du prochain, tel que le
définit
l’Évangile ; d’autre part, certaines conséquences politiques de l’err
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cune des personnes qui la composent, et n’est pas
définie
par autre chose que par ce centre. Elle est le rayonnement dans la du
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’un abandon aux lois de la poussière. ⁂ Ceci peut
définir
l’Antiquité : la panique de l’homme environné par les voix innombrabl
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otion qu’il lui était impossible d’analyser ou de
définir
. On dirait que des voix descendent du haut des cieux…, il semble y av
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exigence évangélique de la mort à soi-même, vient
définir
à nouveau l’Église chrétienne comme le lieu où la Parole est prêchée,
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tion de « l’âme humaine » par la religion, et qui
définissent
volontiers l’Église comme une force au service de la civilisation, s’
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t soit l’un des classiques préférés29. ⁂ Une fois
définie
la valeur de cette objection préalable, que pourraient nous opposer l
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ter est traditio ecclesiastica). Nous la trouvons
définie
tout d’abord par le concile d’Éphèse (431) comme étant la fidem defin