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pas soi-même, il vise à la plénitude élémentaire,
définie
par la loi, par son astre. L’homme chrétien au contraire, l’homme qui
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inaliste la plus grave : il ne sait ou n’ose plus
définir
et assumer son bien ni son mal, — et sans cesse il en parle, car la S
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e-là. Les témoignages qu’on a pu lire plus haut
définissent
deux positions révolutionnaires malaisément comparables : l’une matér
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on personnaliste, l’opposition doctrinale peut se
définir
simplement. Les uns croient, avec Marx, à la réalité d’une dialectiqu
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sentation] (décembre 1932)i Est-il possible de
définir
une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude
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mment accentué qu’il peut paraître suffisant pour
définir
un front unique, fût-il provisoire. C’est dans cette vue qu’ont été r
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aliment à un dogmatisme populaire farouche, et se
définit
comme désavantageuse ». k. « Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (
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uppose en même temps », écrit-il. C’est lorsqu’il
définit
ainsi la foi qu’on hésite à le suivre, — et que peut-être il sert mal
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sation du travail pour un repos nécessaire. Il se
définit
psychologiquement non par rapport au travail, mais par rapport à la s
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ercevoir du paradoxe politique que nous venons de
définir
. Ils eurent l’habileté de baser leurs revendications, à la fois sur l
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-je ? Il l’a souhaitée expressément. Mais comment
définir
un saint qui ne croit pas ? Un saint privé de foi autant que de relig