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’empêchent honnêtement d’en sortir. Une équivoque
définie
comme telle cesse d’ailleurs d’être trompeuse. Le rôle de la pensée c
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essenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le
définir
en termes positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont
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iat. Acte, présence et engagement, ces trois mots
définissent
la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
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istes le soin de s’en réjouir. Si maintenant nous
définissons
la personne comme une vocation créatrice, la situation se renverse. L
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ces jamais avouées mais réellement agissantes qui
définissent
l’esprit bourgeois, et que le marxisme n’a fait que formuler brutalem
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héorique. Cette spiritualité que Marx n’avait pas
définie
, il faut maintenant la préciser d’urgence, ne fût-ce que pour des fin
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rée comme un service nécessaire — voilà peut-être
définie
l’attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions.
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antichrétienne en son principe. Ainsi se trouvent
définies
les trois « hérésies politiques ». 1° L’hérésie pessimiste abandonne
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est pourquoi l’apparition d’une volonté contraire
définit
exactement, pour la chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
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s bien pour poser devant vous quelques questions,
définir
à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoquer vos ob
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uter sur des nuances métaphysiques arbitrairement
définies
, sur des oppositions qui n’existent, en réalité, que dans la mesure o
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: l’humanisme, c’est le péché même, si l’on peut
définir
le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non
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re le péril éventuel : elle ne contribue pas à le
définir
utilement. On fonde des ligues antifascistes46, on cultive une mystiq
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it introduit en ces termes : Est-il possible de
définir
une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude
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mment accentué qu’il peut paraître suffisant pour
définir
un front unique, fût-il provisoire. C’est dans cette vue qu’ont été r
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Les témoignages qu’on a pu lire dans ce Cahier
définissent
deux positions révolutionnaires malaisément comparables : l’une matér
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on personnaliste, l’opposition doctrinale peut se
définir
simplement. Les uns croient, avec Marx, à la réalité d’une dialectiqu
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qu’il n’y a plus de « personnes ». — La position
définie
par la phrase citée de M. Nizan est exactement celle des révolutionna
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ation de l’autre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à
définir
une attitude spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’éc
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ubordonnée. La personne, telle que je viens de la
définir
, n’est pas un état, mais un acte. L’homme devient personne dans la me
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s intérêts et les passions. La politique que vous
définissez
ne sert ni les uns ni les autres. Elle prétend agir à l’encontre de t
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re par l’action politique peuvent être clairement
définies
, mais elles restent diverses et incommensurables entre elles : ici ma
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t de bonheur est une chose trop fragile pour être
définie
et qui s’évanouit aussitôt qu’on l’atteint. Vraiment, notre époque vi
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révéré de nos mythes : personne encore n’a su le
définir
et fixer son niveau concret. D’où sa vitalité et son pouvoir mystique
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ns n’ont pas d’importance quand les fins sont mal
définies
. Mais nous visons des buts bien définis : il ne faut pas épauler au h
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e déficience de cette tension créatrice qui seule
définit
un « temps plein ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie
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on de la primauté nécessaire du spirituel (qu’ils
définissent
d’ailleurs assez diversement) ; affirmation de la nécessité de repren
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lités personnelles. Ces refus et ces affirmations
définissent
l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nou
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Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la revue,
définissait
dès son premier numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de c
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ce livre. 78. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile
définit
la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui qui pra