1 che bien, et qu’il soit superflu de commencer par définir ce premier mot ? Allons tout de suite à un exemple extrême. Pour le c

2 .) Ce renversement d’équilibre n’est pas facile à définir , ni surtout à localiser. Il me semble qu’il est d’abord éprouvé par l

3 apidement déprimées par la difficulté qu’il y a à définir simplement la culture ? Sait-on bien de quoi il s’agit quand on dit :

4 upart n’ont jamais réfléchi à ce problème —, pour définir la culture comme un acquis spirituel à transmettre. C’est-à-dire comm

5 se conscience. C’est aussi qu’il est le premier à définir une conscience nouvelle de la culture créatrice — conscience dont je

6 t liée aujourd’hui aux conditions économiques qui définissent la classe bourgeoise, on est en droit de supposer que cette culture p

7 ifiée. Mais cette raison ennemie du singulier, et définie par son hostilité à tout ce qui se fonde sur le mystère (créateur, hu

8 urras aimera se répéter les « syllabes sacrées », définit la même assurance prise au nom de la raison sur l’avenir : « L’Ordre

9 second lieu d’apercevoir qu’une culture peut être définie par son principe régulateur, pour autant que ce principe est vraiment

10 l’absolue vérité d’un principe téléologique n’est définie que par la vérité du télos même. Mais je ne veux parler ici que de la

11 s lors, la tâche de la révolution spirituelle est définie  : en face de la mesure ancienne qui se survit en tyrannie stérile et

12 les à débrouiller dans la pratique, et pourraient définir utilement les partis, si seulement chacun de ces mots avait le même s

13 a fin proposée par le socialisme. » Il faut alors définir la culture comme « une forme commune de la vie, dont l’activité écono

14 s conditions pratiques de cette édification étant définies de la manière la plus simple par la propagande, les vertus et les vic

15 riat tels qu’ils sont, mais tels que le Parti les définit .   Attitude philosophique et religieuse. — Il n’est plus nécessaire

16 ou moins enthousiaste en une vision plus ou moins définie de l’avenir, que l’on décore du nom d’idéal. Je me méfie profondément

17 eur » ou pour « l’Allemand » tels qu’un parti les définit , mais non pas pour l’homme total. Elles sont des mesures de propagand

18 de, elles sont précisément trop simples. Elles se définissent d’un seul mot : le Plan, ou le Führer, ou le Parti. Or, tout le monde

19 e. La mesure que nous cherchons ne peut donc être définie qu’en relation avec la vérité dernière de l’homme ; elle est l’attitu

20 irtuelles et pessimisme de fait : ces deux traits définissent l’atmosphère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent tro

21 ltés actuelles, optimisme imposé, ces deux traits définissent l’atmosphère des nations rajeunies de l’Europe. Elles n’ont plus de l

22 ment ici et là leur insertion, je m’appliquerai à définir le seul aspect moral de mon sujet : quelle est l’attitude de pensée,

23 ou penser, ou parler… (« Parler pour dire », sans définir l’objet, parler pour voir comment on pourrait dire… rejoint, ailleurs

24 ls (examens, diplômes et titres) qu’on ne saurait définir clairement parce qu’il est fait d’une foule d’éléments précis, pour l

25 de la collection Alcan, mais dont ils ne peuvent définir le principe ni les limites, à quoi se résout-il effectivement ? À ce

26 rage a été fait) si l’on sait utiliser la méthode définie par l’école historique de la fin du xixe siècle. Par contre l’Art po

27 eur règne matériel, je ne perdrais pas ma peine à définir l’erreur fondamentale d’une élite impuissante qu’ils ont bien fait de

28 notre entreprise. Quel est cet acte ? Comment le définir  ? Pourquoi l’appeler concret ? Ne serait-il pas tout au contraire un

29 que chose d’irrationnel ; que l’on ne peut pas le définir par des phrases ; qu’il ne se prouve qu’en se produisant ; et surtout

30 bien vrai que l’acte est ce quid que l’on ne peut définir autrement qu’en le faisant. Il est bien vrai que c’est à partir de l’

31 bien vrai que c’est à partir de l’acte qu’il faut définir toute chose, sinon l’on n’arrivera jamais à rien d’actif. Mais la rai

32 comporte des effets. La somme de ses effets ne le définit pas, mais le suppose, l’éclaire, le représente… La seule réponse adéq

33 ccidental, dont la tension particulière peut être définie ainsi : violence initiale et créatrice, contre-battue et ordonnée tou

34 ne au double sens du mot. Les clercs défendent et définissent une liberté de la pensée qui n’est au vrai qu’une assurance contre to

35 latter d’obéir en tout temps à une seule conduite définie  ? (Mais aussi, ce qui importe dans une vie, c’est son parti pris domi

36 e s’opposent pas comme le jour et la nuit. Je les définirais plutôt comme deux manières de s’endormir. Au fond il s’agit là de deu

37 x sens d’un même mot, le moins concret, voilà qui définit le mauvais style, en même temps que le style à succès. Le grand publi

38 irituel de la mesure qu’il nous faut tout d’abord définir , et le signe naîtra ensuite. Or ce principe me paraît défini tout à l

39 s, l’activité des quelques hommes qui cherchent à définir le vrai but et les conditions intimes d’un mouvement destiné toutefoi

40 s personnes qui la composent, et ne peut pas être définie par autre chose que par ce centre (par exemple, par l’État, ou par le

41 es selon la série dans laquelle ils entrent. Puis définir la part de décision personnelle, de pensée véritable, de finalité réf