1
puritain et plus libre de mœurs. L’Amérique ne se
définit
pas. Elle ne s’explique pas dans l’ensemble. Elle se sent. L’Amérique
2
ral vers la vie libre, vers l’avenir. On pourrait
définir
l’Amérique comme le pays où ce qui va venir émeut autant qu’en Europe
3
gue tradition. Leur opposition reste fluente, mal
définie
. Elle ne se cristallise, et encore, que pendant les courtes périodes
4
méricain à l’étranger est une espèce humaine bien
définie
. Hollywood en a fait un héros qui traverse les intrigues du fascisme
5
la musique, vingt autres procédés moins faciles à
définir
, en deux mots : voilà le domaine que Disney seul a le courage d’explo
6
our-propre les conditions prescrites de l’action,
définies
par les editors qui savent comment atteindre un grand public. Et s’il
7
que. Les mœurs sexuelles de l’Europe peuvent être
définies
comme un jeu très complexe opposant un ensemble de règles sociales co
8
exuelles de l’Amérique ne sont point si faciles à
définir
. Comment expliquer le contraste entre le puritanisme rigoureux de tel
9
partie de la jeunesse européenne. Essayons de le
définir
en quelques traits. Perte du sens tragique de l’amour ; réalisme scie
10
nage. Et je ne sais pas de meilleure méthode pour
définir
une civilisation que de rechercher ce qui est « bien vu » ou « mal vu