1
’un des commentateurs de la légende de Tristan la
définir
« une épopée de l’adultère ». La formule est sans doute exacte, si l’
2
dissimule, et d’un certain mode de connaître qui
définirait
à lui seul notre psyché occidentale. Pourquoi l’homme d’Occident veut
3
le de notre esprit et même de notre Histoire.) Je
définirais
volontiers le romantique occidental comme un homme pour qui la douleu
4
difficultés mêmes que l’on éprouve de nos jours à
définir
cette religion ne sont pas sans nous renseigner sur sa nature profond
5
». 4.Orient et Occident Est-il possible de
définir
l’Orient et l’Occident en dehors de la géographie ? En présence d’un
6
ole du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy
définit
en ces termes : « Un autre moyen (pour « embarrasser le lecteur ») co
7
Mais si les formes sont pareilles, il importe de
définir
en quoi les contenus restent incompatibles, et quelle est la nature d
8
sans le savoir, un langage dont la seule mystique
définissait
le sens valable. Plus d’une fois, l’ambiguïté du mythe nous a fait hé
9
Or le fait de dépasser les limites de l’instinct,
définit
l’homme en tant qu’esprit. C’est ce fait seul qui nous permet de parl
10
igables, Bonagiunta de Lucques. Bonne occasion de
définir
le dolce stil nuovo, le style savant et caressant que l’école du Nord
11
ontraire à celle qu’un moderne imagine ! Dante la
définira
dans son Banquet, comme le secret qu’il faut voiler d’un « beau menso
12
. C’est parce que Dante et ses amis sont amenés à
définir
leur art, qu’on surprend mieux qu’ailleurs chez les poètes italiens l
13
ui oppose Orlandi et Cavalcanti : il s’agirait de
définir
enfin ce dont on parle. « Cet Amour est-il vie ou mort ? » demande co
14
mour est la passion mystique. Mais encore faut-il
définir
le rôle de l’amour naturel dans cette perspective céleste. C’est ce q
15
des impressions champêtres du dimanche.) Spinoza
définit
l’amour : un sentiment de joie accompagné de l’idée d’une cause extér
16
, et du second que l’inconstance, se voit amené à
définir
l’amour comme « une maladie de l’esprit » — dans la pure tradition an
17
e trouver belles les catastrophes, voilà qui peut
définir
l’âge classique. Certes la guerre et la passion demeurent des maux in
18
point de vue des mœurs et de leur littérature, se
définit
par une dernière tentative de mythification de la passion. Réaction q
19
’action passionnelle sur les masses, telle que la
définit
Hitler, se double désormais d’une action rationalisante sur les indiv
20
le plus favorable. Or s’il est assez difficile de
définir
en général le bonheur, le problème devient insoluble dès que s’y ajou
21
a ruine du mariage en tant qu’institution sociale
définie
par la stabilité. 3.« Aimer, c’est vivre ! » Dès le xiie siècl
22
at. Double influence de la beauté-standard : elle
définit
d’avance l’objet de la passion — dépersonnalisé dans cette mesure — e
23
ien serait vaine l’attitude intellectuelle qui se
définirait
elle-même comme une condamnation de la passion : il suffit, pour l’ap
24
n parti pris tout personnel que je vais tenter de
définir
maintenant, et après coup, tel que je le reconnais dans ma vie. Et ce
25
ux du siècle présent, je pense que la fidélité se
définit
comme la moins naturelle des vertus, et la plus désavantageuse pour l
26
formule toute négative et privative de Croce, et
définir
enfin le mariage comme cette institution qui contient la passion non
27
lque influence indirecte de l’ambition chrétienne
définie
par l’Apôtre (Romains, 8), et qui tendrait à restaurer le Cosmos dans
28
naissons Dieu », dit Spinoza. Cette attitude, qui
définit
mon Occident, définit en même temps les conditions profondes de la fi
29
pinoza. Cette attitude, qui définit mon Occident,
définit
en même temps les conditions profondes de la fidélité, de la personne
30
du monde créé ; et c’est ainsi que la Renaissance
définit
l’homme : un microcosme. Tout ce qui détruit cette volonté centrale,