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sonne en soi, telle que les religions majeures la
définissent
ou la nient. Car toute idée de l’homme est une idée de l’amour. Cette
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mour. — Religion d’un Dieu que l’Ancien Testament
définissait
comme l’Être originel, le Créateur du monde et le sauveur d’Israël, m
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la réalité de la personne. — Les relations qu’il
définit
entre l’homme et « son » Dieu sont personnelles. Dieu est personnel.
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des épîtres et des évangiles7 qui dans l’ensemble
définissent
une éthique cohérente de type personnaliste, et non plus sociale ou s
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nsable). Les instincts sont classés, les passions
définies
, et la religion codifiée. Instincts et passions font « le monde », y
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veritas, l’un des héros ironiques de Kierkegaard
définit
l’amour comme le lieu où « la vie spirituelle la plus élevée s’exprim
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bipolarité à la simple dualité des classiques. Il
définit
en effet l’érotisme (en termes étonnamment modernes) comme « une synt
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personne ou d’un personnage, et du style qui les
définit
; sur la notion de l’homme qu’elles impliquent et supposent, nolens v
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épréciatives. En revanche, le terme d’érotisme ne
définit
pour moi ni le bien ni le mal, mais un phénomène passionnant par exce
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à certaines conceptions fondamentales de l’homme
définies
par les grandes religions, par leurs métaphysiques, et par leurs héré
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ent, plus tard, au cours de ma vie, j’ai tenté de
définir
, de donner un nom au sortilège lumineux que tu avais jeté dans mon âm
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articularités : c’est à peu près ainsi que Valéry
définissait
le génie. La belle traduction française de Philippe Jaccottet s’intit
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e pourra… Les caractères étant donnés, la mission
définie
dès le début du drame, voyons maintenant le progrès de l’action. Il f
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Trinité. » L’incertitude objective, telle que la
définit
Kierkegaard, est donc une périphrase philosophique pour désigner la f
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écartant de soi, en le refusant, il le voit et le
définit
mieux que personne ; du même coup, il se définit, contre lui mais non
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définit mieux que personne ; du même coup, il se
définit
, contre lui mais non pas sans lui. Il ne conçoit que deux manières de
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de la réalité sous toutes ses formes. Ce système
définit
son individualité. Or je ne regarde ici et n’essaie de saisir qu’une
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la personne de Kierkegaard est ce système qui se
définit
par la mise en tension et l’interdépendance de trois réalités hétérog
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agesse », qui se croit devenu Don Juan, et qui se
définit
comme tel ! Les philosophes de l’avenir réclameront le titre de « séd
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ion universelle. Le fédéralisme, au contraire, se
définit
comme la synthèse perpétuelle de deux tendances antagonistes : l’auto
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-je ? Il l’a souhaitée expressément. Mais comment
définir
un saint qui ne croit pas ? Un saint privé de foi autant que de relig
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pas soi-même, il vise à la plénitude élémentaire,
définie
par la loi, par son astre. L’homme chrétien au contraire, l’homme qui
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au ♦ La forme indique le nombre 4. Elle suggère :
définir
, délimiter (le carré), mais aussi pénétrer partout, dans tous les sen