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nction mondialisante. Car cela revient en somme à
définir
le phénomène européen par ses effets, alors qu’on s’est toujours effo
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ion universelle du christianisme, et ce n’est pas
définir
l’Europe, puisque ce serait la définir par une vérité éternelle, qu’e
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n’est pas définir l’Europe, puisque ce serait la
définir
par une vérité éternelle, qu’elle n’a pas mérité d’incarner, sur laqu
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re formule de l’unité paradoxale qui permettra de
définir
l’Europe. Unité non point faite d’uniformité, mais au contraire de va
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e essentiellement polyphonique et dialectique qui
définit
l’Europe, sa grandeur et son drame17. Il serait tentant, partant de
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au nom de ses principes indiscutés. ⁂ Voici donc
définie
par ses formes une Europe pluraliste, et non pas unitaire dans son pr
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atteint l’Europe dans une situation qui me paraît
définie
par trois grands faits dont je voudrais maintenant mettre en valeur l
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ts philosophiques, théologiques et politiques qui
définissent
l’esprit européen au xixe siècle. Ce sont donc des valeurs qui nous