1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 ée par les existentialistes à Kierkegaard. Ce mot définit à leurs yeux l’état de l’homme qui choisit en toute liberté, mais qui
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
2 r surmonter l’anarchie sémantique que je viens de définir comme étant à la fois signe et cause de la dissolution communautaire
3 ses et gestes coordonnés ; elle garantit ainsi et définit le sens commun des mots et leur autorité. C’est sur ce second point q
4 vécu. Au contraire, il me semble que la liturgie définit ces mêmes termes d’une manière synthétique, dans le corps même de la
5 in de termes devenus par ailleurs si difficiles à définir comme autorité, grâce, libération, esprit, paix, justice, vérité, soc
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
6 hébreu. Et parce qu’elle est la loi de Dieu — qui définit la vérité —, elle porte en elle la règle permanente de toute action e
7 e15. Ces quelques lignes de Dawson me paraissent définir en raccourci le double héritage que l’Église et l’Europe ont repris d
8 s même Marx, quoi qu’on en pense souvent — n’a su définir clairement. Mais je retiens que l’une et l’autre hypothèse rattache l
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
9 s une passion spirituelle. Je ne saurais mieux le définir qu’en vous résumant une légende de l’ancienne Russie orthodoxe et mys
10 u’on se refuse à lui donner. Ayant ainsi tenté de définir le sens dernier de la recherche en général, je me tournerai maintenan
11 ui ont produit notre civilisation, — voilà ce qui définit le mieux l’Europe. Et c’est par là que l’Europe se distingue des civi
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
12 anté religieuse s’appelle œcuménisme. Nous allons définir ces trois termes en insistant sur leur liaison fondamentale et sur le
13 Il convient de laisser aux théologiens le soin de définir la doctrine positive de l’union au nom de laquelle doit être condamné
14 ns de l’Église chrétienne. Dans la personne ainsi définie se résout l’éternel conflit entre la liberté individuelle et les devo
15 erté et l’engagement de la personne chrétienne se définissent du même coup par la formule : à chacun sa vocation. Nous avons retrou
16 émulation vivante des valeurs originales. Spinoza définit la paix comme « l’harmonie des âmes fortes ». Nous pourrions pareille
17 ie des âmes fortes ». Nous pourrions pareillement définir l’œcuménisme et le fédéralisme en remplaçant « âmes » par « Églises »
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
18 it pour agent historique le capitalisme ; l’autre définie par la remise au travailleur des fruits de son travail, serait l’œuvr
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
19 ourquoi j’ai pu écrire ailleurs que « l’utopie se définit comme un système sans avenir ». Le christianisme est un parti (ou pl