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son union sur une unité préexistante ? Et comment
définir
cette unité ? » Nationalistes de tous nos États, communistes de toute
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vrir l’un après l’autre qu’il est si difficile de
définir
l’Europe qu’on peut en profiter pour nier son existence. « L’Europe n
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pape sous le nom de Pie II, que l’Europe se voit
définie
, face à l’islam de Mahomet II, comme l’héritière chrétienne de Rome e
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des peuples. L’unité de l’Europe comme culture se
définit
en termes de compréhension, tout comme une « société » selon Toynbee,
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conciles. Le problème était le suivant : Comment
définir
les trois fonctions de Dieu — le Père, le Fils, le Saint-Esprit — san
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dans la communauté… Voilà donc notre civilisation
définie
non point comme une création préconçue qui s’affirmerait cohérente, n
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liberté. Il n’est pas de concept plus difficile à
définir
, plus facile à nier en théorie, et il n’est pas d’idée plus exaltante
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e monde ? » À ses yeux — et cela peut servir à le
définir
— « se distinguer » ou « être distingué » est synonyme d’honneur méri
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nt, et plus spécifiquement l’Europe. On peut donc
définir
l’Europe comme cette partie de la planète où l’homme, sans relâche, s
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e siècle : l’Europe, l’URSS et les USA. Elles se
définissent
aisément selon le dosage d’autorité et de liberté qu’elles ménagent d
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trêmes une fois posés, il nous est plus facile de
définir
ce qu’est la voie européenne. Posons-nous cette question très simple
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explique seul la genèse de ces « produits », qui
définit
ou qui limite leur mode d’emploi et donne un sens à l’aventure occide
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imal et l’Égyptien. (Dans le même style, Bismarck
définit
le Bavarois comme « cet être intermédiaire entre l’Autrichien et l’ho
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rpus et la Déclaration des droits de l’homme, qui
définissent
aujourd’hui, pour tous les peuples du tiers-monde à peine moins que p