1 hiérarchie, instituer un ordre de priorités, donc définir une politique. Jusqu’aux débuts du xxe siècle, les crises étaient lo

2 l’on tentera de caractériser faute de pouvoir le définit , commence à la fin du xviiie siècle, et sa courbe suit de près celle

3 il est demandé au gouvernement et au Parlement de définir très prochainement une nouvelle politique…11 » Et pendant que le gouv

4 croissance et paramètre unique du progrès, le PNB définit à lui seul, et beaucoup mieux que la « consommation », l’esprit de no

5 largement dans le calcul du PNB par habitant, et définira le progrès. Mieux encore ; on a calculé que le PNB s’accroîtrait de p

6 éréditaire. L’État royal — futur État-nation — se définit alors expressément par rapport au Saint-Empire romain de nation germa

7 issance de l’État-nation Tel qu’on vient de le définir , l’État moderne est né entre deux dates précises : 1790 et 1794. Le 1

8 que le présent. On peut même dire que l’Utopie se définit comme un système sans avenir. C’est que la plupart des utopistes, en

9 aginable, qu’il naît de l’absence même de menaces définies . (On ne peut pas s’ennuyer dans une tempête, mais bien dans un appart

10 — jusqu’ici. L’avenir ou domaine du possible, se définit dès lors comme notre liberté et notre puissance à la fois. « Il est d

11 sition. Cette nouvelle « relation d’incertitude » définirait le passé et l’avenir dans les termes les plus propres, me semble-t-il

12 une politique et d’en parler — la politique étant définie en ce point comme l’ensemble des mesures à prendre pour lutter contre

13 des moyens de les joindre. Mais voilà bien ce qui définit une politique. La politique est donc ce qui doit remplacer, dans la

14 a pas sans l’autre, en réalité. Et cette relation définit la santé de l’homme occidental. Tout ce qui la fausse est donc morbid

15 t par point à contraindre, forcer, interdire, qui définissent le style stato-nationaliste de gouverner. « Gouverner, c’est contrain

16 tica, xxxix.) De la majesté selon Jean Bodin (qui définit au xvie siècle la souveraineté), de la Genossenschaft ou communauté

17 ur toutes, et sans condition. La souveraineté est définie par « le pouvoir de donner et casser la loy », par celui de lever des

18 s révocables, que pour certaines tâches limitées, définies par leurs dimensions. Pour avoir soutenu exactement le contraire, on

19 illustré par l’histoire d’Oneida. Trois périodes définies s’y succèdent en cascade : la communauté primitive, fondée en 1848 (b

20 onvaincus que toute communauté se constitue et se définit en premier lieu par ce qu’elle exclut, interdit, excommunie, oblige à

21 a s’explique par leur histoire — sont portés à la définir par ce qu’elle ouvre et va permettre de réaliser ensemble. Et ce ne s

22 ssaie déjà de réduire à du connu. Loin de vouloir définir une organisation idéale, donc statique de la cité, j’évoque des « pos

23 le choix responsable, cette fuite précisément qui définit les profiteurs du système et ses victimes résignées. J’indique ici de

24 et sa formule dans la région : il nous permet de définir celle-ci, en première approximation, comme une grappe de communes, pu

25 régionale, le problème n’est donc pas du tout de définir d’abord son territoire, comme nous y incitent ces technocrates agress

26 mporains : si l’on demande à l’homme de la rue de définir les Basques ou les Flamands, les Occitans ou les Gallois, il le fera

27 re reste à tout le moins incertaine, ne sauraient définir une région que d’une manière accidentelle, tout éphémère. Le Mezzogio

28 voir. En revanche, il n’est pas trop difficile de définir l’autogestion par ce dont elle diffère essentiellement, à savoir l’au

29 communautés humaines. L’autogestion peut aussi se définir par ce qu’elle est destinée à remplacer demain, si l’on ne veut pas é

30 e peut plus rien entreprendre. Jean Bodin l’avait définie comme « le droit de commencer une guerre et de la terminer quand on l

31 actement superposables. Je rappelle qu’une région définie par les problèmes d’environnement et d’urbanisme n’a pas nécessaireme

32 s nécessairement le même territoire qu’une région définie par l’ethnie, ou encore par les problèmes de production et de distrib

33 ouhaiter ou non un pouvoir régional. La région se définit comme un ensemble de syndicats (ou coopératives) de communes, chacun

34 usive d’un pouvoir politique aux compétences bien définies . Elle ne s’oppose en fait, mais là, radicalement, qu’à la seule préte

35 oc de nos nationalismes étatisés. À cette urgence définie en termes de contre-passé, et qui allait aboutir à la formation du Co

36 assistons, d’une urgence tout à fait différente, définie cette fois-ci en termes d’avenir : savoir si l’an 2000 de l’Europe ou

37 esquelles notre chef d’État faisait ses classes — définissaient précisément l’Europe comme allant « de Gibraltar à l’Oural ». Le sort

38 rappelé plus haut. Si l’on admet que la droite se définit par le souci de conservation et d’ordre, la gauche par une volonté d’

39 pas constitué en vue de certaines tâches sociales définies , mais pour gérer l’héritage plus ou moins légitime des États royaux,

40 un : la bureaucratie du Parti régnant. Lénine se définit comme « un jacobin lié à l’organisation du prolétariat », relève (non