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Chaque élément complète les autres et sert à les
définir
. Tout lecteur qui chercherait la synthèse se verrait opposer une œuvr
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de recréer des possibilités de communauté humaine
définie
maintenant, non plus comme la nation ancienne, par les frontières, pa
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ysique, ou par l’état civil, mais des communautés
définies
par leurs buts sociaux, culturels, ou spirituels, donc des communauté
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l sera libre. 26 novembre 1976 De même qu’on peut
définir
le prolétaire comme quelqu’un qui ne jouit pas des produits de son tr
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el que Platon et Aristote (son maîtreb) l’avaient
définie
, à une cité agrandie uniquement pour des motifs économiques, les gran
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r la naissance (sens étymologique de “nation”) et
définies
par un territoire situé à l’intérieur de frontières. Ces communautés
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ntières. Ces communautés électives seront, elles,
définies
par leurs buts consistant à fournir un cadre approprié à l’épanouisse
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’université. D’où résultent deux conséquences qui
définissent
exactement le phénomène de la tour de Babel, tel que Dante l’écrit :
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sme complet entre la personne, au sens où je l’ai
définie
, et le fédéralisme. Il s’agira, dans une fédération, d’éduquer, de fo
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évolution française, dans un sens très cartésien,
définit
l’homme par ses droits politiques, et non plus par sa nature globale
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it de quoi il s’agit en Europe, et cela peut même
définir
l’esprit européen, en partie. Il y a les traditions judéo-chrétiennes
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aujourd’hui, me paraît tout à fait essentiel pour
définir
, par exemple, la possibilité d’une fédération européenne. On ne peut
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8 En Europe, il y avait trois espèces de nations,
définies
par rapport au Saint-Empire : les nations qui faisaient partie de l’e
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, engageant des volontés. Ainsi, le pacte fédéral
définit
et garantit la solidarité des contractants, et en même temps il protè
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e. Dans les deux cas, le problème est toujours de
définir
ce qui distingue et unit à la fois, qu’il s’agisse, comme au concile
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ples et aux structures géométriques. Tenter de le
définir
d’entrée de jeu et une fois pour toutes serait donc s’exposer à trahi
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obre 1966 Cette espèce de répugnance à se laisser
définir
que montre le fédéralisme est très normale, puisqu’il n’est justement
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te entreprise. Alors, il faut passer aux régions (
définies
par leurs fonctions) puis aux associations de régions vers des fédéra
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t être la France sans la grandeur. » Cette phrase
définit
tout l’esprit qui a été celui de la politique étrangère du général de
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système fédéraliste. En effet, le fédéralisme se
définit
comme un paradoxe continuel. Il est à la fois l’autonomie des communa
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ndes catégories, mais par rapport à elles se sont
définies
les principales hérésies, c’est-à-dire des interprétations différente
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de l’Occident. Ainsi, ces grandes catégories sont
définies
théologiquement, mais plus tard, au Moyen Âge, par le détour de la ph
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olution occidentale depuis les grands conciles se
définit
en raison de son objectif qui est la personne humaine. Il se réalise
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équilibre mouvant. 18 février 1966 La personne se
définit
comme une réalité paradoxale, toujours. Elle est à la fois distincte
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mais elle est en relation avec autrui ; elle est
définie
par sa vocation unique, mais cette vocation lui donne une fonction da
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t n’est pas important. Il est indéniable que cela
définit
une certaine forme de pensée, qui veut que les choses sont à la fois
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ar l’esprit), c’est l’individu naturel tel que le
définissait
la scolastique, transformé par l’appel de l’esprit. La personne, c’es
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cipation à la culture générale, telle que je l’ai
définie
, est pour moi la participation de tout l’homme à un sens général de l
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à l’est, qui vivent sans doctrine politique bien
définie
de la souveraineté. Le type même de l’écrivain politique qui y corres
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vent l’étiquette de démocratie. La démocratie est
définie
par le pluralisme des partis et leur lutte, ce qui permet la naissanc
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gestes, les actes ; et finalement, c’est elle qui
définit
une politique. Cela a toujours été le cas, mais je pense que dans la
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pas une province (au sens ancien). La région est
définie
par la densité de population, l’accroissement de la production, la vi
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ien délimité, une unité administrative (disparue)
définie
par un cadre et des frontières (comme nos États-nations). La région e
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truction civique digne du nom commencera donc par
définir
les conditions concrètes d’exercice du civisme, les dimensions variée
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avant de traiter des régions, car les régions se
définissent
par rapport aux États-nations, et contre les États-nations. De même,
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correspondre qu’à une seule forme politique bien
définie
: le fédéralisme, union dans la diversité, union pour sauvegarder les
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l’invention des ordinateurs. Ce qui m’amène, pour
définir
la fédération possible de l’Europe sur la base des régions, à reprend
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la même extension, toutes ces régions n’étant pas
définies
par leurs frontières, mais par leurs fonctions — me paraît propre à r
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antes, non plus séparées par des frontières, mais
définies
par leur force de rayonnement, paraît seule propre à surmonter tous l
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ont parle de “région à géométrie variable”. Ainsi
définie
, elle constitue, au-delà de la commune, le cadre de participation civ