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e de la personne. Puis il s’agit de retrouver une
définition
concrète de la personne. Enfin de la traduire en institutions et cout
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je ne sais quelle « mondialité », je notai cette
définition
et la fis circuler mine de rien : « L’Européen ne serait-il pas cet h
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e et Politique. Nous savons tous la vanité de ces
définitions
: trop faciles parce que trop nombreuses et déformables à souhait, au
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, au gré de l’ignorance ou de la malveillance. La
définition
la plus facile de l’écologie, et donc la plus courante, consiste à di
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de la politique à l’École ». D’où cette nouvelle
définition
de la politique : si l’on est pour le nucléaire, on fait de l’informa
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titue ». Mais sur quelles bases, et selon quelles
définitions
? J’ai lu les 708 pages de ce livre, admirablement illustré, et n’y a
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rablement illustré, et n’y ai trouvé qu’une seule
définition
de l’État : « L’État classique opte pour l’essentiel, le contrôle des
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définir celui d’État, n’ait fait l’objet d’aucune
définition
aux pages précédentes de l’ouvrage. En réalité, l’étude de Jean Bodin
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et relançant ce « mouvement ininterrompu vers la
définition
d’une souveraineté absolue dont Imbart de la Tour a fait la caractéri
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ard, op. cit., p. 490). Tout cela culmine dans la
définition
de la souveraineté, « puissance de donner et de casser la loi, sous l
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s et précises nuances, qui en disent plus que les
définitions
, comme dans cette phrase de Rousseau : « Grandeur des nations, étendu
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à nos jours, si l’on en croit les très curieuses
définitions
de « l’État classique » données par Pierre Chaunu (op. cit., p. 57) :
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teur bien plus naïf, donc plus révélateur que les
définitions
savantes. On y lit : « National : qui concerne la nation, qui est de
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État — qu’ils incarnent. D’où, de nos jours, les
définitions
courantes de la souveraineté nationale dans les dictionnaires les plu
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la souveraineté absolue, laquelle s’oppose par sa
définition
et sa nature à toute espèce de pacte ou d’alliance de bonne foi, qui
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es pays latins surtout, a été enthousiasmé par la
définition
de Paul Valéry : est absolument européen tout ce qui a été touché ou
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t une culture qui accepte un nombre non limité de
définitions
, toutes justes. Le jeudi matin, je ne sais plus qui d’entre nous a di
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’entre nous a dit qu’il connaissait quatre-vingts
définitions
de la culture européenne, c’était peut-être M. Boldizsar. Il était on
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autre orateur a parlé de deux-cent-quarante-cinq
définitions
de la culture européenne. Cela s’était passé très vite, vous le voyez
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e s’arrêter. Un autre a dit que tout ce qui était
définition
de la culture n’était pas culture, il avait raison aussi. Donc, la cu
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t un nombre non limité et sans cesse croissant de
définitions
toutes justes, c’est-à-dire capables d’être intégrées et exemplifiées
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» et surtout la possibilité de « participer à la
définition
des choix qui déterminent l’avenir » — je pense notamment au choix du
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ndements mêmes du christianisme, puisque la seule
définition
satisfaisante de Dieu qui ait jamais été donnée, c’est celle de saint