1 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
1 et me conduisit à sa demeure. C’était l’heure du déjeuner . Nous causions depuis quelques instants dans sa bibliothèque, où d’un
2 aussi, n’a presque pas touché aux mets servis. Le déjeuner se termine toutefois sans que mon hôte ait paru remarquer que mon mal
3 idé et j’articule : « — Vous n’avez rien mangé au déjeuner , madame. — Vous non plus… » Je poursuis non sans peine : « — Si nous
4 viar rouge. Et le tour recommence. Même jeu qu’au déjeuner . Ni l’un ni l’autre ne pouvons toucher à rien. Tout d’un coup je me s