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et me conduisit à sa demeure. C’était l’heure du
déjeuner
. Nous causions depuis quelques instants dans sa bibliothèque, où d’un
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aussi, n’a presque pas touché aux mets servis. Le
déjeuner
se termine toutefois sans que mon hôte ait paru remarquer que mon mal
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écidé et j’articule : « Vous n’avez rien mangé au
déjeuner
, Madame. — Vous non plus… » Je poursuis non sans peine : « Si nous a
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iar rouge. Et là, tout recommence. Même jeu qu’au
déjeuner
. Ni l’un ni l’autre ne pouvons toucher à rien. Tout d’un coup je me s