1 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
1 et me conduisit à sa demeure. C’était l’heure du déjeuner . Nous causions depuis quelques instants dans sa bibliothèque, où d’un
2 aussi, n’a presque pas touché aux mets servis. Le déjeuner se termine toutefois sans que mon hôte ait paru remarquer que mon mal
3 écidé et j’articule : « Vous n’avez rien mangé au déjeuner , Madame. —  Vous non plus… » Je poursuis non sans peine : « Si nous a
4 iar rouge. Et là, tout recommence. Même jeu qu’au déjeuner . Ni l’un ni l’autre ne pouvons toucher à rien. Tout d’un coup je me s