1
e la Nation, qui conduit au désordre flagrant des
démocraties
, et à cette fixation brutale du même désordre qu’on nomme l’ordre tot
2
bourgeoise ; c’est le citoyen responsable de nos
démocraties
modernes dans la mesure où ces démocraties méritent encore de porter
3
de nos démocraties modernes dans la mesure où ces
démocraties
méritent encore de porter ce nom, et ne sont pas de simples oligarchi
4
ions humanistes de la personne : transformons nos
démocraties
individualistes en démocraties vraiment personnalistes. Et surtout, n
5
: transformons nos démocraties individualistes en
démocraties
vraiment personnalistes. Et surtout, n’oublions jamais que l’ennemi q
6
tif vis-à-vis de sa propre nation ? Le sort de la
démocratie
dépend de la solution qui sera donnée en fait à ce problème, au cours
7
uines et détritus à déblayer, même si les grandes
démocraties
ont la victoire. Non pas le bonheur fait de laisser-aller et d’insouc
8
de l’Europe. Le chef-d’œuvre que représente notre
démocratie
fédérative — si différente des grandes démocraties « ploutocratiques
9
démocratie fédérative — si différente des grandes
démocraties
« ploutocratiques » — est à certains égards une survivance, au milieu