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les à nous-mêmes. b. « L’idée fédéraliste », La
Démocratie
suisse (1848-1948), Morat, Éditions patriotiques, 1948, p. 461-464.
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roit d’opposition légale contre l’État. Parler de
démocratie
, si l’on n’a pas ce droit, c’est bavarder, ou c’est parler de dictatu
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bavarder, ou c’est parler de dictature : voir les
démocraties
dites populaires. Les vues que j’expose ici sont garanties par une a
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, c’est en réalité céder sur le seul point où les
démocraties
libérales se distinguent essentiellement et radicalement des tyrannie
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duire dans les règlements scolaires de toutes les
démocraties
une clause spéciale ajoutant à la liste des « motifs légitimes d’abse
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seuil des grandes constitutions, la Liberté et la
Démocratie
cesseraient d’être raillées comme de belles abstractions. Quant à la
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tiser la « liberté de conscience » que toutes nos
démocraties
proclament à l’envi. Et d’autre part, il n’y a pas de vraisemblance à
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fectif des libertés théoriquement admises par les
démocraties
occidentales. Je ne partage pas la conviction des adventistes sur le
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es et nous, il n’y a en commun qu’un mot : le mot
démocratie
… Pour eux cela signifie dictature. Pour nous liberté politique. p.