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1 ; la peur du bolchévisme proche, la carence des
démocraties
bavardes, la révolte d’une jeunesse vagabonde, plus radicale et plus
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s, chargée d’assurer nos défenses nationales. Les
démocraties
ont vaincu, en 1945, à l’aide de la bombe atomique, arme totalitaire
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L’agora, condition première de la
démocratie
réelle (décembre 1984-janvier 1985)ac Vous m’avez demandé ce que s
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physique, architectonique et symbolique de toute
démocratie
digne du nom. C’est le lieu de rencontre d’une communauté, j’entends
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guer. Elle est donc le fondement historique de la
démocratie
à l’européenne, en tant que lieu où n’importe quel homme libre peut p
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-nation. ac. « L’agora, condition première de la
démocratie
réelle », Agora : pratiques de communication sociale, Genève, n° 13,
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démocratique, tel qu’il se nomme à l’Est, et les
démocraties
libérales telles qu’elles se veulent à l’Ouest. ⁂ Resserrons-nous mai
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, le national-socialisme allemand. À l’Ouest, les
démocraties
parlementaires, altérées de nationalisme, et centralisatrices, à domi
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oslavie et de Grèce, qui n’étaient plus guère des
démocraties
, mais qui se réclamaient encore de l’Ouest, parce que capitalistes. T
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ien et le désordre établi. Entre le désordre des
démocraties
de l’Ouest et le faux ordre des totalitaires de l’Est ; entre la diss
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nt négatifs ». Et c’est un fait que, face à nos «
démocraties
», nous étions inquiets, agacés, exaspérés parfois et finalement déçu
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elle par le général Jaruzelski. Nous voulions une
démocratie
digne du nom : communautaire, autogérée, régionaliste, fédéraliste… J
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rres religieuses entre capitalisme et communisme,
démocratie
et totalitarisme, les mêmes effets de mensonge universel se manifeste
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scisme et communisme, mais s’en prenait aussi aux
démocraties
occidentales qu’il jugeait rongées de l’intérieur par un individualis
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at pour tous ». C’est encore le vice majeur de la
démocratie
française. Et c’est de là que nous disions que, dans la démocratie in
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ise. Et c’est de là que nous disions que, dans la
démocratie
individualiste, il n’y a plus rien pour résister aux tendances totali
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triomphe passager. La faiblesse congénitale d’une
démocratie
individualiste est de dire « non », simplement. Une chose qui m’avait
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e me posaient alors l’époque, les carences de nos
démocraties
et le défi des totalitaires. Par Alexandre Marc, j’entrai en relation
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de justice sociale mais de révoltes sans fin, de
démocraties
certes, mais aussi d’États totalitaires, d’internationales pacifistes
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guer. Elle est donc le fondement historique de la
démocratie
à l’européenne, en tant que lieu où n’importe quel homme libre peut p
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du goulag étaient vides, et que l’URSS était une
démocratie
fédéraliste ? Bibliographie Feldbrugge F. J. M. (ed.), The Con