1 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
1 ées, dernier asile pour les démissionnaires d’une Démocratie fatiguée ! Quand nous parlons d’un pouvoir « spirituel », nous n’ente
2 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
2 infinie de l’humanité. Principe de la véritable «  démocratie  » culturelle : une élite dont le sens et l’honneur soit de s’agréger
3 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
3 Plébiscite et démocratie (avril 1936)s 1. En quoi le plébiscite diffère des élections par
4 tiellement antiparlementaire. 2. Plébiscite et démocratie Mais cette opération antiparlementaire a été présentée au peuple a
5 discours, a longuement insisté sur ce point. Les démocraties de l’Ouest, disait-il en substance, ne sont en réalité que des oligar
6 x tonnante : « Voilà ce que j’appelle de la vraie démocratie  ! » À quoi les « démocraties de l’Ouest » peuvent répondre sans cherc
7 j’appelle de la vraie démocratie ! » À quoi les «  démocraties de l’Ouest » peuvent répondre sans chercher bien loin : si vous n’éti
8 en connaissance de cause. C’est pourquoi la vraie démocratie n’est possible que là où l’opinion a été formée et disciplinée par un
9 instant gêné par le sophisme qui assimile « vraie démocratie  » et gouvernement d’un seul appuyé sur une opinion qu’il s’est créée
10 phisme des régimes parlementaires qui appellent «  démocratie  » le gouvernement du peuple par des députés livrés à toutes les intri
11 trigues des puissances occultes. En réalité, la «  démocratie  » hitlérienne et la « démocratie » parlementaire française sont deux
12 En réalité, la « démocratie » hitlérienne et la «  démocratie  » parlementaire française sont deux trahisons qualifiées de la vérita
13 se sont deux trahisons qualifiées de la véritable démocratie , définie comme le gouvernement du peuple par lui-même. Ce régime idéa
14 ement du peuple par lui-même. Ce régime idéal, la démocratie pure, n’a jamais pu s’exercer qu’à une très petite échelle : celle de
15 e des électeurs, ou Landsgemeinde. Mais une telle démocratie , la seule réelle, n’est plus possible dès que le nombre des électeurs
16 en France, on ne saurait parler sans sophisme de démocratie . Mais là où le référendum ne peut être provoqué que par le gouverneme
17 ite, malgré ses prétentions récentes à la « vraie démocratie  ». C’est que le problème allemand fondamental est aujourd’hui de cons
18 ntative de plébiscite, et donc une négation de la démocratie réelle. (Encore une fois : le référendum n’est possible en Suisse, il
19 ui soit à mesure d’homme, — pour la seule vraie «  démocratie  », dirions-nous volontiers, si le mot ne couvrait aujourd’hui les plu
20 ntes trahisons de la chose. s. « Plébiscite et démocratie  », L’Ordre nouveau, Paris, n° 30, avril 1936, p. 21-25.
4 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
21 l’étatisme n’a pas été partout le même. Dans les démocraties bourgeoises, il est encore freiné et sournoisement saboté par l’oppos
22 ciste : tout pour l’État. La fameuse croisade des démocraties socialistes contre les dictatures fascistes ressemble à un de ces com
5 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
23 toires gouvernementales ; seuls les ennemis de la démocratie oseraient remarquer que ces victoires successives se rapprochent touj