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iste ; elle s’oppose à l’émiettement social de la
démocratie
individualiste ; elle s’oppose à l’exploitation de l’homme par ses cr
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stalinienne. Tel est le paradoxe malheureux de la
démocratie
laïque. L’individu au nom duquel légiféra la Convention n’était en so
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ur une équivoque fondamentale. C’est le cas de la
démocratie
libérale ; elle est fondée sur une notion de l’individu qui défie l’e
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utant plus qu’on pourrait aussi bien parler d’une
démocratie
minimum, exercée par quelques personnes en vue d’atteindre un maximum
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ter leur petit nombre par leur combativité. Si la
démocratie
bourgeoise, militaire, cléricalement anticléricale, parlementaire et
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ogie, voire d’une sensibilité conditionnée par la
démocratie
parlementaire, — absolument stérile du point de vue révolutionnaire.