1 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
1 iste ; elle s’oppose à l’émiettement social de la démocratie individualiste ; elle s’oppose à l’exploitation de l’homme par ses cr
2 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
2 stalinienne. Tel est le paradoxe malheureux de la démocratie laïque. L’individu au nom duquel légiféra la Convention n’était en so
3 ur une équivoque fondamentale. C’est le cas de la démocratie libérale ; elle est fondée sur une notion de l’individu qui défie l’e
4 utant plus qu’on pourrait aussi bien parler d’une démocratie minimum, exercée par quelques personnes en vue d’atteindre un maximum
3 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
5 ter leur petit nombre par leur combativité. Si la démocratie bourgeoise, militaire, cléricalement anticléricale, parlementaire et
4 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
6 ogie, voire d’une sensibilité conditionnée par la démocratie parlementaire, — absolument stérile du point de vue révolutionnaire.