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llemand ce qui lui manquait pour désirer la vraie
démocratie
. Et pour réaliser ses premières conditions, qui sont le sens vulgaris
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a sortir des camps de travail, et la jeunesse des
démocraties
. Laquelle des deux est en retard sur la « vérité » historique ? Sur l
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t pain pour le Peuple. N’oublions pas, dans nos
démocraties
, que la grande majorité du peuple allemand croit cela, et vit dans ce
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’est arrivé de souhaiter que les écrivains de nos
démocraties
soient soumis pendant quelque temps à des sanctions conditionnelles t
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un vaste effort moral des grandes et des petites
démocraties
pour résoudre à leur manière propre le problème religieux (plus que s
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Appendice ii 20 Plébiscite et
démocratie
(À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936) 1. En quo
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it » les moyens mis en œuvre. 2. Plébiscite et
démocratie
Or cette opération antiparlementaire a été présentée au peuple all
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discours, a longuement insisté sur ce point. Les
démocraties
de l’Ouest, disait-il en substance, ne sont en réalité que des oligar
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s aveuglément. Voilà ce que j’appelle de la vraie
démocratie
! » À quoi les « démocraties de l’Ouest » peuvent répondre sans cherc
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j’appelle de la vraie démocratie ! » À quoi les «
démocraties
de l’Ouest » peuvent répondre sans chercher bien loin : si vous n’éti
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en connaissance de cause. C’est pourquoi la vraie
démocratie
n’est possible que là où l’opinion a été formée et disciplinée par un
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instant gêné par le sophisme qui assimile « vraie
démocratie
» et gouvernement d’un seul appuyé sur une opinion qu’il s’est créée
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phisme des régimes parlementaires qui appellent «
démocratie
» le gouvernement du pays par des députés livrés à toutes les intrigu
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rigues des puissances occultes. En réalité, la «
démocratie
» hitlérienne et la « démocratie » parlementaire française sont deux
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En réalité, la « démocratie » hitlérienne et la «
démocratie
» parlementaire française sont deux trahisons de la véritable démocra
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ire française sont deux trahisons de la véritable
démocratie
si celle-ci doit être définie comme le gouvernement du peuple par lui
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ement du peuple par lui-même. Ce régime idéal, la
démocratie
pure n’a jamais pu s’exercer qu’à une échelle réduite : celle de cert
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ère des électeurs (Landsgemeinde). Mais une telle
démocratie
, la seule réelle, n’est plus possible dès que le nombre des électeurs
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en France, on ne saurait parler sans sophisme de
démocratie
: les pouvoirs délégués échappent à tout contrôle, ils sont perdus. M
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ite, malgré ses prétentions récentes à la « vraie
démocratie
». C’est que le problème allemand fondamental est aujourd’hui de cons
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ntative de plébiscite, et donc une négation de la
démocratie
réelle. (Encore une fois : le référendum n’est possible en Suisse, il
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ui soit à mesure d’homme, — pour la seule vraie «
démocratie
», dirions-nous volontiers, si le mot ne couvrait aujourd’hui les plu
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au chantage brutal du Führer. L’abdication des «
démocraties
de l’Ouest » traduit, entre autres, leur mauvaise conscience d’États