1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 llemand ce qui lui manquait pour désirer la vraie démocratie . Et pour réaliser ses premières conditions, qui sont le sens vulgaris
2 a sortir des camps de travail, et la jeunesse des démocraties . Laquelle des deux est en retard sur la « vérité » historique ? Sur l
3 t pain pour le Peuple. N’oublions pas, dans nos démocraties , que la grande majorité du peuple allemand croit cela, et vit dans ce
4 ’est arrivé de souhaiter que les écrivains de nos démocraties soient soumis pendant quelque temps à des sanctions conditionnelles t
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
5 un vaste effort moral des grandes et des petites démocraties pour résoudre à leur manière propre le problème religieux (plus que s
3 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
6 Appendice ii 20 Plébiscite et démocratie (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936) 1. En quo
7 it » les moyens mis en œuvre. 2. Plébiscite et démocratie Or cette opération antiparlementaire a été présentée au peuple all
8 discours, a longuement insisté sur ce point. Les démocraties de l’Ouest, disait-il en substance, ne sont en réalité que des oligar
9 s aveuglément. Voilà ce que j’appelle de la vraie démocratie  ! » À quoi les « démocraties de l’Ouest » peuvent répondre sans cherc
10 j’appelle de la vraie démocratie ! » À quoi les «  démocraties de l’Ouest » peuvent répondre sans chercher bien loin : si vous n’éti
11 en connaissance de cause. C’est pourquoi la vraie démocratie n’est possible que là où l’opinion a été formée et disciplinée par un
12 instant gêné par le sophisme qui assimile « vraie démocratie  » et gouvernement d’un seul appuyé sur une opinion qu’il s’est créée
13 phisme des régimes parlementaires qui appellent «  démocratie  » le gouvernement du pays par des députés livrés à toutes les intrigu
14 rigues des puissances occultes. En réalité, la «  démocratie  » hitlérienne et la « démocratie » parlementaire française sont deux
15 En réalité, la « démocratie » hitlérienne et la «  démocratie  » parlementaire française sont deux trahisons de la véritable démocra
16 ire française sont deux trahisons de la véritable démocratie si celle-ci doit être définie comme le gouvernement du peuple par lui
17 ement du peuple par lui-même. Ce régime idéal, la démocratie pure n’a jamais pu s’exercer qu’à une échelle réduite : celle de cert
18 ère des électeurs (Landsgemeinde). Mais une telle démocratie , la seule réelle, n’est plus possible dès que le nombre des électeurs
19 en France, on ne saurait parler sans sophisme de démocratie  : les pouvoirs délégués échappent à tout contrôle, ils sont perdus. M
20 ite, malgré ses prétentions récentes à la « vraie démocratie  ». C’est que le problème allemand fondamental est aujourd’hui de cons
21 ntative de plébiscite, et donc une négation de la démocratie réelle. (Encore une fois : le référendum n’est possible en Suisse, il
22 ui soit à mesure d’homme, — pour la seule vraie «  démocratie  », dirions-nous volontiers, si le mot ne couvrait aujourd’hui les plu
4 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
23 au chantage brutal du Führer. L’abdication des «  démocraties de l’Ouest » traduit, entre autres, leur mauvaise conscience d’États