1 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
1 aire ; elle s’oppose à l’émiettement social de la démocratie individualiste ; elle s’oppose à l’exploitation de l’homme par ses cr
2 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
2 stalinienne. Tel est le paradoxe malheureux de la démocratie laïque. L’individu au nom duquel légiféra la Convention n’était en so
3 ur une équivoque fondamentale. C’est le cas de la démocratie libérale ; elle est fondée sur une notion de l’individu qui défie l’e
4 utant plus qu’on pourrait aussi bien parler d’une démocratie minimum, exercée par quelques personnes en vue d’atteindre un maximum
3 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
5 ter leur petit nombre par leur combativité. Si la démocratie bourgeoise, militaire, cléricalement anticléricale, parlementaire et
4 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
6 ions humanistes de la personne : transformons nos démocraties individualistes en démocraties vraiment personnalistes. Et surtout, n
7 : transformons nos démocraties individualistes en démocraties vraiment personnalistes. Et surtout, n’oublions jamais que l’ennemi q
5 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
8 urgeois-capitaliste subsiste dans beaucoup de nos démocraties . Que ce danger, que ces erreurs, que ce régime aient survécu à la Sec