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ou jacobine, à Napoléon, au nationalisme et à la
démocratie
. Convaincu que l’Europe (audax Japeti genus, comme l’écrivait Horace)
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érant rien du Progrès, ni de la Science, ni de la
Démocratie
sociale, ni du mouvement de l’Histoire, et encore moins de la Liberté
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uvernement un, un immense arbitrage fraternel, la
démocratie
en paix avec elle-même, toutes les nations sœurs ayant pour cité et p
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mentale par laquelle se distinguent, ex æquo, les
démocraties
impériales, les monarchies constitutionnelles et les républiques unit
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tre grandes monarchies, à plus forte raison entre
démocraties
impériales, est chose impossible. Des États comme la France, l’Autric
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de va au-devant de l’alternative suivante : ou la
Démocratie
totale, ou le Despotisme absolu. Enfin, une voix américaine : Henry A
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uropéen des deux grands, nous la trouvons dans La
Démocratie
en Amérique publiée en 1856 par le comte Alexis Clérel de Tocqueville
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té d’un juste châtiment fondant de Moscou sur nos
démocraties
… Plus sobre et plus serein, à sa coutume, Leopold von Ranke écrit en
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: la Russie et l’absolutisme, la Révolution et la
démocratie
.228 Dans un discours prononcé en 1867, Marx précise que l’objectif
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et sapées par les efforts mal satisfaits de leur
démocratie
, par la proportion trop considérable des éléments appartenant aux bas
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us la direction de J.-P. Mayer, tome I, i : De la
Démocratie
en Amérique, pages 430-431. Éd. Gallimard, Paris. 224. L. v. Ranke :
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irrémédiablement placé devant l’alternative d’une
démocratie
totale ou d’un despotisme sans loi et absolu, ce dernier n’étant d’ai
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tracte, le passage de Rousseau à Napoléon et à la
démocratie
montante. […] Schuman était déjà, en musique, un fait purement allema
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de l’esprit » : La fatalité qui joue contre les
démocraties
modernes, c’est celle de la fausse philosophie de la vie qui pendant
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érance renouvelée et d’une foi invincible. Si les
démocraties
occidentales ne doivent pas être emportées, et une nuit de plusieurs
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doctrines prétendaient justifier. Au surplus, les
démocraties
nordiques autant que les Latines gardent un réflexe d’hostilité à l’e
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conciliées les deux tendances qui se partagent la
démocratie
de notre temps, celle de l’État libéral et celle de l’État autoritair