1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
1 ou jacobine, à Napoléon, au nationalisme et à la démocratie . Convaincu que l’Europe (audax Japeti genus, comme l’écrivait Horace)
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
2 érant rien du Progrès, ni de la Science, ni de la Démocratie sociale, ni du mouvement de l’Histoire, et encore moins de la Liberté
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
3 uvernement un, un immense arbitrage fraternel, la démocratie en paix avec elle-même, toutes les nations sœurs ayant pour cité et p
4 mentale par laquelle se distinguent, ex æquo, les démocraties impériales, les monarchies constitutionnelles et les républiques unit
5 tre grandes monarchies, à plus forte raison entre démocraties impériales, est chose impossible. Des États comme la France, l’Autric
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
6 de va au-devant de l’alternative suivante : ou la Démocratie totale, ou le Despotisme absolu. Enfin, une voix américaine : Henry A
7 uropéen des deux grands, nous la trouvons dans La Démocratie en Amérique publiée en 1856 par le comte Alexis Clérel de Tocqueville
8 té d’un juste châtiment fondant de Moscou sur nos démocraties … Plus sobre et plus serein, à sa coutume, Leopold von Ranke écrit en
9 : la Russie et l’absolutisme, la Révolution et la démocratie .228 Dans un discours prononcé en 1867, Marx précise que l’objectif
10 et sapées par les efforts mal satisfaits de leur démocratie , par la proportion trop considérable des éléments appartenant aux bas
11 us la direction de J.-P. Mayer, tome I, i : De la Démocratie en Amérique, pages 430-431. Éd. Gallimard, Paris. 224. L. v. Ranke :
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
12 irrémédiablement placé devant l’alternative d’une démocratie totale ou d’un despotisme sans loi et absolu, ce dernier n’étant d’ai
13 tracte, le passage de Rousseau à Napoléon et à la démocratie montante. […] Schuman était déjà, en musique, un fait purement allema
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
14 de l’esprit » : La fatalité qui joue contre les démocraties modernes, c’est celle de la fausse philosophie de la vie qui pendant
15 érance renouvelée et d’une foi invincible. Si les démocraties occidentales ne doivent pas être emportées, et une nuit de plusieurs
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
16 doctrines prétendaient justifier. Au surplus, les démocraties nordiques autant que les Latines gardent un réflexe d’hostilité à l’e
17 conciliées les deux tendances qui se partagent la démocratie de notre temps, celle de l’État libéral et celle de l’État autoritair