1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 s totalitaires, hargneusement critiqués par les «  démocraties  » qui n’ont pas été jusqu’au bout de leur nationalisme et de leur éta
2 ée rouge : 1945, 1956, 1968. La stabilisation des démocraties de l’Ouest n’est garantie que par les armements et les investissement
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
3 de prendre à son sens littéral cette maxime de la démocratie qui affirme qu’un homme en vaut un autre, et donc qu’une femme aussi
4 érée. Et c’est enfin pourquoi les créateurs de la démocratie moderne attachent une pareille importance à la possession du sense of
5 être que choisie et voulue — exactement comme la démocratie  — par une majorité de la population, suscitée et conduite par une min
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
6 ême titre que le libéralisme, le socialisme ou la démocratie , d’alimenter la pensée des sociétés et de dicter aux hommes ces “imag
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
7 uple, comme ce fut le cas des jacobins puis des «  démocraties  » plébiscitaires et totalitaires du xxe siècle. 42. L’État-nation
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
8 au niveau des gouvernements, j’en conclus que la démocratie , qui est la loi de la majorité, n’est qu’un leurre dans l’Europe de l
9 uest, si elle n’est qu’une antiphrase à l’Est. La démocratie ne fonctionne pas dans les structures stato-nationalistes : de cette
10 iste ; elle s’oppose à l’émiettement social de la démocratie individualiste ; elle s’oppose à l’exploitation de l’homme par ses cr