1 t l’humiliation de nos États-nations laïques et «  démocratiques  » par des émirs de droit divin, mais c’est de quoi je me consolerai d

2 edire ce qu’est l’État, selon la grande tradition démocratique , qui est anglo-saxonne et calviniste française. Elle a formé le modèl

3 toyens, il s’ensuit qu’en général le gouvernement démocratique convient aux petits États », ceux où « le peuple est facile à rassemb

4 auté est petite, plus le gouvernement peut y être démocratique  ; plus un État est populeux et étendu, et plus le pouvoir doit être c

5 ue ou collégial, le pouvoir d’une commune ne sera démocratique que s’il est transparent et pratiquement public ; — doté des compéten

6 ure urbaine doit respecter, si l’on veut une cité démocratique , propre à la participation des citoyens. 6. — De la polis grecque à

7 si le mot-clé de notre avenir, si nous le voulons démocratique , en tant que lieu de la coopération grâce à laquelle les communes von

8 ilitaire, fasciste ou communiste, dictatoriale ou démocratique . Mais l’autogestion, qu’est-ce que c’est ? Peut-être un de ces mots d

9 ndent pas168. » L’autogestion et le régionalisme démocratique peuvent se déduire de ces deux définitions par changement de signe de

10 es et nationales à dictature militaire résolument démocratique . C’est ainsi que la Révolution française, comme l’a montré Tocquevill

11 sens des relations entre États-nations n’est pas démocratique et ne peut sans doute pas l’être. Elle est encore de type dynastique,

12 n’est que le stade ultime du stato-nationalisme «  démocratique  », « socialiste » ou « libéral » qui sévit sur tous nos pays. Vous ne

13 empêchera, selon les lois en vigueur de nos États démocratiques , ces régions et associations de désigner des délégués qui se réuniron