1 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
1 ntion d’un tel langage, est que tout est donné au départ , et qu’il s’agit de ne rien introduire dans la chaîne des arguments q
2 partir d’éléments que j’aurais distingués dès le départ . Une parabole se comprend par la fin. Comme l’expédition de Colomb pa
2 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
3 rd’hui nous ramènerait nécessairement au point de départ , après un petit tour da planète. Nous changeons de continent comme on
4 ur. La poésie des voyages a vécu, la tragédie des départs a vécu. Mais ce qui naît, ce qui peut naître parmi nous, c’est un amo
3 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
5 ranquiste hors du train qui sifflait déjà pour le départ vers la frontière — à deux-cents mètres — du Portugal et de la libert
4 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
6 de mes après-midi. Bien entendu. La veille de mon départ , comme nous sortions du bar, Maria et moi, une édition du matin nous