1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 u la lisière des Réalités divines. » Toute magie dépasse la personne, ou plutôt la dissout dans la métamorphose. Animal, homme
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
2 de la Personne divine, ne saurait être résolue ni dépassée . Elle doit être assumée par la foi, au prix de ce changement de l’hom
3 cher à les nier ou, ce qui revient au même, à les dépasser idéalement. Tandis que les antinomies nées de nos seuls désirs contra
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
4 on vague et puissante, qui permet à l’individu de dépasser son horizon restreint, de s’affranchir de ses soucis privés (en temps
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
5 n des archétypes et de la répétition ne peut être dépassé impunément que si l’on adhère à une philosophie de la liberté qui n’e
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
6 iens avaient dominé la mer du Bengale, conquis et dépassé l’Indochine. Les Hindous étaient en relation avec l’Afrique grâce aux
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
7 raison, comme elle avait déjà échappé à nos sens. Dépassée la matière, qui était pourtant devenue l’objet principal de la scienc
8  au monde » ne peut y répondre ; mais aussi, elle dépasse le monde : rien en lui ne peut m’empêcher, ni moi-même, de me la pose
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
9 rd en retard chez nous jusqu’à la Renaissance, ne dépassent guère celles de l’Asie jusqu’à l’invention des machines. Vers 1800, t
10 r de leurs usines pendant tout le siècle dernier, dépasse sans doute celui des tués des camps nazis, sinon celui des morts de K
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
11 uccessives sont relatives et provisoires, ont été dépassées l’une après l’autre, et que pourtant la raison d’être de la Science e
12 eprésente un progrès sur Mozart. Car on ne peut «  dépasser  » Mozart : il se suffit. Il n’est pas une étape transitoire dans une
13 dre à l’excès tributaire de ce que l’on déclare «  dépassé  ». C’est s’interdire d’être vraiment de son temps, d’être vraiment mo
9 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
14 de « réalité » par la matière est en train d’être dépassée en Occident, tandis que la cosmogonie traditionnelle des Hindous gagn
15 ientôt. Déjà nous volons, transmutons les métaux, dépassons la vitesse du son, prolongeons de deux à trois fois la durée moyenne
16 eu plus près le malentendu, et la nécessité de le dépasser . Je rappelais que les Orientaux ont multiplié les recettes (psychosom